Y’a plein de fois où, comme musique, je ne sais pas quoi écouter. C’est pourtant pas faute de manquer : à une époque, je passais mon temps à accumuler toute sorte de sons, sans doute en prévision d’une guerre mondiale ou d’un cataclysme du même genre. Résultat des courses, j’ai des disques durs entiers d’albums dématérialisés que je n’ai jamais écoutés. Pour dire vrai, j’en ai même tellement, que je ne sais pas quoi écouter : vachement logique tout ça… En pareil cas de figure, j’me mets à regarder les dernières sorties, et j’ai parfois la surprise de voir qu’un de mes groupes préférés a sorti un album, sans même que j’sois au courant. Alors là ça devient cool, le problème se règle de lui-même. Un Muse ou un Asaf Avidan, par exemple, auront toujours un laisser-passer prioritaire, quoi qu’ils eussent fait auparavant, c’est comme ça.
En vape, c’est pareil. Des nouvelles sorties, y’en a aux 4 coins du monde, tout le temps. L’offre est même tellement pléthorique que l’on en vient à ne plus savoir vraiment quoi choisir. Heureusement, des légendes de la vape sortent elles aussi régulièrement des trucs, et les légendes, chez moi, elles ont leur ‘pass VIP’ pour griller tout le monde dans la file d’attente. C’est sûrement injuste, mais c’est comme ça. Le gratteur du jour ? Taifun !! Bon, en vrai, on n’aura droit qu’au sosie chinois du GT4S, gentiment envoyé tous frais payés par notre vénérable 2fdeal, mais c’est déjà pas mal. Ça tombe même plutôt bien d’ailleurs, à plus d’un titre. Déjà, et même si tout l’monde s’en tape, parce que j’me trouve actuellement dans une phase où mes atos MTL ne me suffisent plus : j’ai besoin d’air !! Et puis surtout parce qu’aussi bizarre que cela puisse paraître, le GT4 de Taifun n’a pas eu droit en son temps à son test sur le Navire. Ça fait donc 2 très bonnes raisons d’envoyer la revue. Allez hop, let’s go !
Généralités
On va donc faire comme si personne ici ne connaissait le Taifun GT4, parce qu’il faut bien le dire, sur ce coup-là, les mecs de chez SmokerStore ne se sont pas vraiment foulés la rate. Bon, en même temps, rien qu’avec le blase de l’ato, ils annoncent la couleur : on n’est pas sur le Taifun GT5, mais bien sur le GT4S, avec un « S », comme small, j’imagine. Après une parenthèse en 25mm pour le GT4, on retrouve donc ici un ato de 23mm de diamètre, dans la plus pure tradition de la marque allemande.
Ses 44 mm de hauteur (hors drip-tip et connecteur 510) en font un ato plutôt massif, sans être ‘trop’ non plus. Contenance : 3.5 ml, ce qui est bien, mais pas top non plus. Un tank en PSU (Polysulfone, un plastoc haut de gamme, grade alimentaire et tout et tout) remplace désormais le tank en borosilicate du GT4. Pour le reste, GT4 et GT4S sont absolument identiques ! Vous pourrez donc aller mater sur Youtube les nombreuses revues vidéo sur le GT4, et vous saurez tout !! Fumiste, moi ? Ouais, et alors ?
Bon allez, comme je tiens quand même un minimum à garder le sponsor, je vais lui faire un peu de pub, histoire de : au niveau de l’usinage global, cette version Ulton est impeccable, à mon avis très proche de l’original. Toutes les pièces s’emboitent parfaitement bien, les joints sont bons, les pas de vis irréprochables, rien ne couine. Bref, un sosie à s’y méprendre. Voilà, ça c’est fait, enchainons donc sans plus tarder et sans râler sur la vue éclatée de l’atomiseur :
Un drip-tip qui a l’air d’un 810 mais qui a une empreinte 510, un top-cap, un tank en PSU, une cloche-cheminée d’un seul tenant, un plateau de montage, et 2 bagues : en somme, du grand classique à vous endormir n’importe quel insomniaque ! Ben ouais, on est comme ça chez SmokerStore : on laisse les innovations gadget aux autres, et on fait dans le classique qui marche bien. C’est sûr qu’à 150 boules l’ato, faut pas s’foirer…
Zoom
Le classique-qui-marche-bien, c’est par exemple le top-cap qui ira se visser directement dans le pas-de-vis usiné dans le haut de la cheminée :
C’est simple, déjà-vu 100 mille fois, mais c’est efficace et c’est ma foi tout ce qu’on demande à un ato haut de gamme.
Dans la même veine, on retrouve un système de tank en PSU pris en sandwich entre le top-cap et le haut du plateau de montage, l’étanchéité de l’ensemble étant assurée par 2 joints toriques côté partie haute du tank, et 1 côté partie basse (marqués en rouge sur la photo suivante) ; on évite ainsi l’usine à gaz d’un pas de vis ‘plastoc sur métal’, jamais fiable sur la durée :
Aucune nouveauté là non plus, puisque c’était le système utilisé sur le Taifun GTR, mais comme ça fonctionne parfaitement bien, pourquoi changer ? C’est bien connu : on ne change pas une équipe qui gagne !
Réglage des arrivées de liquide
Si vous le voulez bien, attardons-nous maintenant quelques instants sur ce qui constitue à mon avis la clé de voûte du GT4S :
Ceci est la bague qui permet de contrôler les 2 arrivées de liquide. Elle vient se positionner sur la partie supérieure de la base du plateau de montage. Elle coulisse souplement mais fermement grâce à un joint impeccablement calibré, et comme sa course est limitée par une petite butée usinée dans la masse du plateau, on ne peut pas se tromper : quand on la visse à fond les arrivées de liquide sont fermées, et quand on la dévisse à fond, elles sont ouvertes. Arrivées de liquide à moitié ouvertes, ça donne ça :
Ce fonctionnement extrêmement simple et parfaitement fonctionnel n’en demeure pas moins essentiel, car les arrivées de liquide sont larges, très larges même : 8 mm ! En conséquence, il faudra impérativement adapter l’ouverture en fonction de la viscosité de son jus à vaper. Certains se sont risqués à rester en full-open avec des liquides moyennement visqueux : tant pis pour eux, la sanction a été immédiate !! Perso, je vape en 60PG-40VG, avec un liquide plutôt fluide donc, et avec la bague ouverte de moitié, je n’ai jamais eu à déplorer ni fuite, ni dry-hit. Mon interprétation de la chose, c’est qu’avec ce GT4S, SmokerStore a voulu s’adresser à un maximum de profils de vapotos, tout simplement.
Plateau et Airflows
Cette idée se confirme d’ailleurs lorsque l’on se penche sur le plateau de montage. A première vue, on pourrait penser qu’avec ses 6 (gros) trous d’air bottom-coil et son espace de travail conséquent, le GT4S est promis aux vapotos avides de vape DL et de gros nuages :
Il l’est, assurément. Mais pas que ! Lorsqu’on observe un peu plus attentivement le plateau, on s’aperçoit que les 3 trous d’air du pôle positif sont situés plus bas que leurs 3 homologues du pôle négatif.
Ben alors SmokerStore…. Vous étiez bourrés au moment de valider le patron de l’ato, ou quoi ??!?? Non, impossible qu’un dinosaure de la trempe de SmokerStore ait commis ce genre d’approximation. Il y a forcément anguille sous roche ! Allez zou, c’est parti : démontage du plateau, on va aller voir ça de plus près.
Mais avant, comme nos amis teutons m’obligent à bosser vraiment dans le détail, je ne vais pas me gêner pour leur rendre la monnaie de leur pièce, et leur administrer un p’tit coup de pelle de derrière les fagots. Ou plutôt deux tiens, tant qu’on y est !
Première chose, on constate que le pin 510 dépasse à peine du connecteur !
OK d’accord, donc vaper le GT4S sur méca hybride, on oublie, c’est ça ? Ben ouais, on oublie ! C’est moche, mais c’est quand même plus prudent ! Mais c’est quand même un tout p’tit peu légèrement déconné hein, j’vous le dis.
Deuxième chose, et là c’est carrément gonflé de leur part, il nous faudra impérativement être équipé d’un tournevis à empreinte ‘torx’ pour dévisser le pin 510 !! Oui parce que comme cet ato se négocie pour une bouchée de pain, les mecs n’ont pas jugé bon de fournir le tournevis qui va bien. Ce sera donc comme le gouvernement avec les masques : chacun pour soi et Dieu pour tous !
Enfin bref, ne nous laissons pas abattre, et revenons-en à nos moutons : une fois le post positif démonté, on découvre que le trajet qu’empruntera l’air ne sera pas tout à fait le même selon qu’il passera dans les trous du post positif ou dans ceux du post négatif. Vous comprenez que dalle à c’que j’raconte ? Je vous rassure, c’est normal !! Peut-être que des images expliqueront mieux la chose. À gauche, l’airflow du post négatif, et à droite, celui du pôle positif :
Côté post négatif (celui taillé dans la masse), l’air circulera de manière ascendante via 3 canaux distincts, avec une trajectoire « en biais » mais directe. Avec un gabarit inséré dans un des trous d’air du post négatif, on se rend (peut-être) un peu mieux compte :
Côté post positif, le circuit est un peu plus tarabiscoté, car l’air devra d’abord effectuer une trajectoire en angle-droit au sein d’un couloir unique, avant de pouvoir rejoindre les canaux en biais usinés dans le plot de montage :
C’est toujours pas clair ? Bon, c’est pas grave, ce qu’il faut retenir, c’est que les trajectoires empruntées par l’air ne sont pas les mêmes dans les plots positifs et négatifs, ce qui, à l’utilisation, devrait procurer des sensations de vape différentes. En effet, la bague d’airflow du GT4S étant constituée de 3 gros cyclopes, on aura le choix de vaper en DL avec 2 cyclopes ouverts, ou en MTL avec un seul cyclope. C’est là que ça peut devenir théoriquement intéressant, car selon qu’on positionnera notre coil sous l’airflow du post positif ou négatif, on devrait obtenir des résultats différents… Allez, ‘suffit pour la partie technique, vérifions tout ça dans la vraie vie sans plus tarder !
Montages et ressentis
Au niveau de la mise en œuvre, et c’est plutôt une mauvaise surprise, le montage du GT4S sera plus ou moins aisé en fonction du fil choisi, la faute à l’absence de petit rebord au niveau des emplacements où l’on positionnera les pattes de notre coil :
Les fils simples de diamètre moyen à gros (0.51mm et a fortiori 0.64mm) auront une fâcheuse tendance à se faire la malle au moment du serrage, et il faudra faire preuve de patience et de dextérité pour ne pas s’arracher les cheveux et insulter la Terre entière. Autre remarque qui a toute son importance, le diamètre du coil ! Etant donné que les arrivées de liquide sont très larges, il faudra une bonne quantité de coton pour éviter tout risque de piscine ! Dans ces conditions, tout coil d’un diamètre inférieur à 3mm aura de grandes chances de nous mettre en zone dangereuse. Nous voilà prévenus. Allez, on ferme les arrivées de liquide, on remplit le tank (par le haut) de ‘English Mixture’ de La Tabaccheria, un assemblage qui fait la part belle au Latakia, avec des notes d’Oriental et de Virginia. C’est parti !
*** Montage MTL *** :
On va commencer relativement en douceur, avec l’idée de vaper au plus restreint de ce qu’est capable de proposer le GT4S. Comme j’aime bien le MTL un peu nerveux, j’opte pour un Kanthal A1 triple twisted, 3x28Ga (0.32mm), 7 tours sur un axe de 3mm, pour une réz. à 0.62 ohm.
Le coil est placé au-dessus des 3 trous du pôle négatif, en le décentrant donc légèrement, et est également rabaissé en hauteur, comme ceci :
Niveau cotonnage, je laisse une bonne longueur de part et d’autre du plateau (1 bon cm), car le coton doit impérativement aller jusqu’au fond des emplacements dédiés, qui sont profonds :
L’aiflow que l’on veut solliciter étant celui situé juste en dessous de la gravure « Taifun GTIV S », on utilise sur la bague d’airflow le cyclope du milieu : de cette manière, l’airflow du post positif, situé à l’opposé, est complètement obturé. Pour l’occasion, je ferme les arrivées de liquide quasiment à fond et, histoire de m’y croire vraiment, je troque le drip-tip noir d’origine contre un drip Taifun GT2 :
Le verdict est sans appel : à 32-35 watts, j’obtiens une vape MTL démentielle !! En fonction du degré d’ouverture du cyclope du milieu, le tirage varie d’un MTL qui creuse légèrement les joues à un DL très restrictif. Mais dans tous les cas, un dénominateur commun : une vape tiède-chaude tout en rondeur et délicieusement généreuse au niveau du rendu des saveurs, mais surtout, une saturation des arômes de fou furieux ! C’est un peu au détriment de la précision de rendu, très bonne quoiqu’un chouille brouillonne, mais très franchement ça vaut le détour. C’est même du genre ‘grosse mandale dans les gencives’… Pour ceux qui connaissent, c’est le même genre de vape que le Precisio de BD Vape, mais en mieux, beaucoup mieux même : c’est encore plus saturé en arômes ! Bref, c’est absolument exquis, mais… Mais où sont passés les 3.5 ml d’English Mixture ? J’ai eu une fuite ?? Ben nan, je les ai simplement sifflés sans même m’en rendre compte !!
Bon ben l’occasion faisant le lardon, j’en profite pour changer mon coton, après avoir cette fois décentré mon coil de l’autre côté, c’est-à-dire au-dessus des trous d’air du post positif. Résultat ? La vape reste excellente, mais de mon point de vue, c’est moins bon, definitely. Le canal d’air unique (et large) et le circuit d’air moins direct, sans doute… À noter qu’après avoir laissé mon tank à moitié rempli pendant une nuit (ato vissé sur une box), j’ai dû essuyer de légers suintements de liquide au niveau du cyclope d’airflow. Donc petit conseil si l’on est amené à ne pas vaper sur son GT4S pendant quelque temps : on ferme ses arrivées de liquide, et tout se passera bien ! Voilà pour le volet MTL, qui je dois bien l’avouer, m’a vraiment scotché. Initialement, je n’avais pas choisi cet ato dans l’optique de le vaper en MTL, et clairement, je ne m’attendais pas à une telle merveille ! Bon, voyons à présent si les impressions vont être aussi bonnes en vape DL.
*** Montages DL *** :
** Premier essai ** : Kanthal A1 22Ga (0.64mm), 6 spires espacées sur un axe de 3mm, réz. à 0.35 ohm. 45 watts avec les 2 cyclopes en full open.
Ouais, pas mal. La surface de chauffe, sans être démentielle, offre tout de même une vape dynamique. Le volume et la densité de vapeur sont plutôt moyens, mais la saturation des arômes est bonne, voire très bonne. La vape procurée est très différente du MTL : on est ici sur une vape clairement analytique – un peu ‘métallique’ comme diraient certains pirates – avec cette fois un très haut niveau de précision de rendu : le English Mixture est très bien décomposé. C’est sympa, mais très honnêtement, c’est pas fou non plus : j’ai du mal à m’emballer, l’ensemble manquant globalement de relief. A mon avis, on peut tirer largement mieux de ce GT4S, d’autant que la mise en place du coil en 22Ga est une bonne petite galère. Voyons voyons… qu’est-ce qu’on pourrait lui coller d’autre, au bouzin ?
Après avoir tenté un parallel-coil avec un Kanthal A1 24Ga (0.51mm), bien relou lui aussi à emprisonner sous les vis de serrage, j’me suis dit « et pourquoi pas essayer un dual coil ? » Vous avez sans doute remarqué que chaque post de montage est équipé de 3 vis, soit 6 vis au total… Alors, autant essayer de les mettre à profit, nan ?
** Deuxième essai ** : Kanthal A1 24 Ga (0.51mm), double coil de 6 spires jointives sur un axe de 3mm, réz. finale à 0.2 ohm.
Pour réaliser ce montage, on pourra par exemple entortiller 1 coil dans un sens (horaire ou anti-horaire) et l’autre dans l’autre sens. Pour le placement, rien de plus simple : on dévissera une des vis du milieu, sous laquelle on insérera 1 patte de chacun de nos coils, tandis que les pattes restantes viendront naturellement prendre place dans les posts opposés, comme ceci :
L’ajustement en hauteur de la double bobine n’est pas obligatoire, mais personnellement, comme pour le MTL, je la rabaisse au maximum de ce que me permet mon gabarit. Cette fois aucun soucis lors du serrage des vis. Ouf, enfin un montage pas chiant à mettre en place ! 0.2 ohm ? Trop cool, j’peux sortir le mod méca ! Arrivées de liquide ouvertes à moitié.
Alors, pas la peine de faire dans le suspens inutile, là on est au level supérieur ! Ce double coil fonctionne parfaitement bien ! Rien à voir avec le simple coil précédent. La vape est bien pêchue et extrêmement lisse. Cyclopes full open, le tirage est aérien mais contenu, parfaitement équilibré pour tirer de (trèèès) longues barres sans avoir la sensation d’aspirer du vent. Cette fois, le volume de vapeur est impressionnant ! Pour la densité, on repassera, mais par contre, on se délectera d’un rendu analytique ultra-précis et d’arômes parfaitement bien saturés. L’ensemble est superbement équilibré, c’est un régal de saveurs ! Va-t-on en rester là pour autant ? Hé bien non, toujours pas !! Mon petit doigt me dit que ce GT4S en a encore sous la semelle…
** Troisième essai ** : Fused Clapton Ni80 2*26 Ga / 36Ga, 5 spires sur un axe de 3mm, réz. à 0.25 ohm.
Je ne mets pas de photo, le principe de montage étant le même que pour le single coil MTL précédemment illustré (mais sans décentrer le coil, évidemment). De tout ce que j’ai testé, les fils plats, c’est ce qui convient le mieux au GT4S ! Aucune fugue à signaler lors du serrage des vis, c’est un signe. C’est d’ailleurs ce qu’ils préconisent dans la notice officielle disponible sur le site de SmokerStore.
Verdict de ce coil à grosse surface de chauffe ? Alors là les amis, on y est !! Pile poil dans ce que j’espérais de cet ato, avec une vape extrêmement dense, saturée comme pas possible, mais tout en restant d’une précision diabolique. En full open, c’est un amour de tirage DL, qui n’appelle qu’à une seule chose : le chain vaping !! C’est simple : tu commences ? Tu peux plus t’arrêter ! La réactivité du nichrome fait merveille sur méca : accu sorti de chargeur, ça balance à la vitesse de l’éclair des salves gorgées de saveurs qui réveilleraient un mort ! Franchement là, c’est taille Patron. Mondo Duplantis et ses 6m18, à côté de ça, dis-toi que le mec, il joue à saute-moutons ! Parce que là, ce n’est plus les étoiles que t’atteins avec ce GT4S, c’est carrément le fin fonds de l’Univers… J’avais jadis promis à mon V6S chéri de lui trouver des p’tits camarades de jeu, ben voilà, c’est fait !! Faut pas lui dire pour pas l’vexer, mais son cousin germain de GT4S fait à mon avis un peu plus et un peu mieux que lui dans presque tous les domaines…
En un mot comme en 100, le GT4S est une bombe atomique. Un ato racé avec une vraie personnalité. Derrière ses apparences plutôt simplistes se cache en réalité une merveille d’ingénierie : MTL, DL, simple coil, double coil, 50-50 ou gros taux de VG, le GT4S est conçu pour mettre tout le monde d’accord. Chacun aura évidemment son ressenti, mais une chose est sûre : avec cette version miniature du GT4, génialement polyvalente, SmokerStore frappe un énooorme coup sur la table, et nous rappelle, si besoin, que les Légendes ne meurent jamais.
Taifun GT4S : Alors, c’est qui l‘patron ?…
La malle aux trésors des 45 commentaires est désormais gardée par notre mascotte. Demandez la clé Log in