Comme il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis, je voulais à la base vous présenter une chouette petite box SBS dégotée dans l’énorme catalogue du site partenaire, mais il m’a été répondu que cela n’allait pas être possible car elle allait bientôt être ‘discontinued’. Ce n’est donc pas encore sur ce coup-là que j’aurai l’occasion de me faire un avis réel sur ce format de box qui, sur le papier, a franchement du mal à m’embarquer. J’ai donc dû changer mon fusil d’épaule, mais comme le secteur de la Vape a quand même de la ressource pour toujours proposer quelque chose « qu’on n’a jamais testé », j’ai pu satisfaire ma soif d’inédit avec un petit dripper atypique : le Nitrous RDA, de chez Damn Vape.
Bon oui, je sais… Ça fait des lustres que ce petit bidule est sorti et qu’il n’est plus commercialisé nulle part à l’heure où vous lisez ces quelques lignes. Normalement, vous auriez dû pouvoir vous procurer le matos en question chez Fasttech. Seulement voilà, on peut raisonnablement penser que le Parti a cédé aux sirènes sonnantes et trébuchantes de Big Tobacco en contraignant, depuis le 1er novembre, ses propres entreprises à raquer une licence pour produire et une autre licence pour vendre du matos à vaper. Et comme vous le savez, ce fut le coup de grâce pour Fasttech qui, après réflexion, a décidé de jeter l’éponge. Je dis « après réflexion » car ce petit Nitrous RDA m’a été expédié le 22 octobre, soit à peine 10 jours seulement avant la date fatidique… À ce moment-là, FT devait donc probablement encore espérer pouvoir continuer. Finalement non, Game Over, RIP FT !!…
J’aurais donc facilement pu passer ce Nitrous RDA sous silence et moi aussi faire le mort, mais comme les vrais pirates ont quand même un certain sens de l’honneur, on va tout de même faire les choses proprement et causer vite fait du bouzin. Allez c’est parti.
Présentation
Alors voilà… Sur le papier, le Nitrous RDA est un dripper qui a été pensé et conçu pour être polyvalent.
Aïe, ça commence bien… Vous savez probablement déjà ce que je pense de ces atos qui prétendent savoir jouer sur tous les tableaux : ah ça, pour savoir tout faire, c’est sûr, il savent faire. Le hic, c’est que bien souvent en pareilles circonstances, il ne faut du coup pas se montrer trop regardant au niveau des saveurs… Ben oui, quand on veut qu’un ato sorte un rendu de qualité, il y a quand même un certain nombre de ratios à respecter. Et à moins d’un coup de bol de cocu, en général il est rare qu’un ato parvienne à tout concilier. Mais bon, peut-être que ce Nitrous RDA va être l’exception qui confirme la règle, qui sait ?…
Polyvalent, le Nitrous RDA l’est de par son tirage déjà : si à l’unboxing, il est équipé d’un drip-tip 810 de 12mm de diamètre interne pour une vape a priori bien aérienne…
… il propose également en spares un deuxième embout buccal, pour une vape plus restreinte : toujours au format 810, mais seulement 7 mm de diamètre interne.
OK, c’est joli, c’est sympa, mais dans la pratique, je n’utilise aucun des deux : le premier parce qu’il est vraiment court sur pattes (4.5mm de haut) et que ce n’est vraiment pas mon kif d‘avoir les lèvres collées à un baril en métal … Et le second, parce que je n’aime pas son esthétique. Heureusement, les ditp-tips ne sont pas propriétaires, donc on aura tout loisir d’installer son 810 favori. Passons donc à la suite sans plus tarder.
Et la suite, c’est un pin positif et un bout de peek qui dépassent suffisamment du connecteur 510 pour une utilisation safe sur méca hybride.
OK, bon point. La suite…
Airflows du Nitrous RDA
Là, on entre dans le volet très subjectif car comme tout le monde le sait, la notion de vape DL ne veut rien dire en tant que telle, puisqu’elle varie d’un vapoto à l’autre. Donc voilà : le Nitrous RDA propose un tirage qui va du RDL au DL. Ahahah, ça vous fait une belle jambe hein ??!!! Et pourtant…, on ne peut pas dire autre chose , puisque le Nitrous présente 2 séries diamétralement opposées de 2×5 trous sur le flanc du baril.
Bon, les trous ne sont pas énormes, 1.5mm peut-être, mais guère plus. Du coup en full open, on est sur un tirage smooth que personnellement, je qualifierais d’agréable. Agréable dans le sens où en n’inspirant pas à pleins poumons comme un goret, on aura une vape aérienne sans faire d’effort. Pour les excités friands de tirages vraiment très aériens, ce Nitrous se montrera certainement un peu trop restreint. En revanche, pour ceux qui apprécient les tirages aériens raisonnables, alors là c’est banco : il suffira de tourner la bague d’airflow centrale pour fermer un à un les trous d’admission d’air. Encore que cette manœuvre ne sera pas forcément chose aisée, la faute à 2 joints toriques pas super bien calibrés, qui font que la dite bague est vraiment raide. Faudra donc dévisser le haut du baril (en rouge sur la photo précédente), ôter la bague et les lubrifier au 100% VG.
Encore un petit truc sur les airflows : les admissions d’air sont usinées à l’horizontale totale, sans aucun angle d’inclinaison.
On aura donc un flux d’air purement latéral, ce qui fait que la hauteur des coils lors de la mise en place aura une grande importance. Voilà qui nous amène donc tout naturellement au plateau de montage.
Deck et montage du Nitrous RDA
Là, on est sur un truc qui ressemble très fortement à ce qui avait été fait sur le Coilturd ‘RDA for Vaping’.
Un gros îlot central postless dans lequel on va pouvoir planter, au choix, un single coil ou un double coil. La visserie est d’excellente facture pour bloquer tout type de câble : les empreintes plates sont profondes et robustes.
Pour ceux que ça intéresse, le Nitrous RDA est bien évidemment prévu pour prendre en charge le squonking, grâce à un pin BF fourni en spares.
Au niveau des cotes des ‘plots’ de montage, on est bien.
On pourra installer sans peine des résistances de 5 à 8 mm de large. Par exemple, un 6 spires de Fused Clapton 2*26/36 passe nickel.
Comme indiqué précédemment, tout l’enjeu de ce type de deck est de couper les pattes de ses coils à la bonne longueur, afin que les bobines ne soient ni trop hautes ni trop basses par rapport aux airflows. Et sur ce point-là, on peut dire que Damn Vape nous a mâché le boulot au maximum : non seulement il est indiqué sur la petite notice de couper à 5mm, mais en plus, on a le bonheur de trouver dans les spares un ‘coil trimmer’ aussi compact qu’efficace.
Ça peut paraître anecdotique mais je le montre quand même, car ce petit outil est absolument génial : il se montre d’une précision diabolique pour obtenir des pattes de coils parfaitement calibrées. Bien meilleur et infiniment plus pratique que tous les coil trimmers que j’ai pu avoir jusqu’à présent.
Pour la confection des coils, je conseille vivement de les tortillonner de cette manière, ça facilitera grandement le suite des évènements.
À droite, un Flapton Ni80 22/38 de chez Flatwire tourné sur axe de 30 et à gauche, un dual de Clapton Ni80 24/36 tourné sur axe de 25.
Pour le calibrage des pattes, on place le coil comme ceci et on coupe au niveau des pointillés rouges.
En montage single, voilà ce que ça donne.
Sous un autre angle.
On peut constater qu’il y a suffisamment d’espace sous le coil pour que l’air circule parfaitement dans le baril.
En montage double bobine, ça donne ça.
Toujours aussi simple à mettre en œuvre. Juste penser à orienter le corps des résistances vers l’extérieur.
Pour le cotonnage, rien de sorcier : perso, je coupe assez large.
En effet, comme la cuve n’est pas très haute (4mm) et que le Nitrous RDA ne l’est pas non plus (20mm hors drip-tip), ça permet d’effectuer un garnissage type ‘nid de coton’.
Ce n’est pas obligatoire mais c’est fortement recommandé, on verra pourquoi tout à l’heure.
Bien… Nous voilà à présent prêts à vaper, mais on ne va pas pour autant causer sensations tout de suite ! Ouais, parce qu’à ce stade, ce Nitrous RDA, présenté comme ça, ne doit probablement pas vous émoustiller plus que ça… Normal j’ai envie de dire, étant donné qu’on n’a pas encore abordé l’essentiel ! J’aime bien brasser du vent et chasser les papillons…
Bon, maintenant que les ¾ des lecteurs se sont endormis devant leur écran, on va pouvoir passer aux choses sérieuses. Ben oui, moi j’suis d’la vieille école et j’aime bien l’idée que seuls les plus méritants accèdent aux meilleures choses. Alors voilà…, je vous ai présenté dès l’intro ce Nitrous RDA comme un dripper atypique : ce n’était pas du vent !
La singularité du Nitrous RDA
Si j’ai jeté mon dévolu sur ce matos, c’est pour 2 raisons.
La première, c’est pour la polyvalence du bouzin. D’ordinaire, quand je lis « ato polyvalent » sur la fiche produit d’un matos, la réaction est épidermique : j’me dis ‘bof’ et je tourne les talons. Sauf que là c’est Damn Vape, et que Damn Vape, en général ils savent de quoi ils parlent… Alors quand ils nous pondent un ato polyvalent, ben eux ils n’y vont pas par 4 chemins : ils ne se contentent pas de fournir 2 drip-tips différents avec leur dripper, histoire de dire qu’on peut changer de tirage. Nan ça, c’est pour les pigeons…
Je n’y mettrais pas ma main au feu, mais à mon avis, les ingés de chez Damn Vape sont des mecs qui vapent. Et qui donc, savent parfaitement que la taille de la chambre d’atomisation d’un ato doit être en correspondance avec le montage installé dans le bouzin. Alors du coup, ils ont décidé de fournir non pas un baril, mais deux !
Vu de l’extérieur, ils sont totalement identiques : les air holes sont similaires et ne varient pas d’un iota. Juste qu’on découvre l’inscription ‘Dual’ sur un des deux.
Et voilà… il est là, l’intérêt du schmilblick !! Une cloche dédiée au single coil, et une autre pour le double coil. Voilà, ça c’est ce que j’appelle de la vraie polyvalence ! C’est juste logique, mais comme à ma connaissance, personne n’avait encore jamais proposé ce genre de choses, ben je dis Bravo Damn Vape ! Bien joué les gars. Alors… il ne gagne pas tout de suite en intérêt, ce Nitrous RDA ?? Hé hé, j’en étais sûr !
Lorsqu’on inspecte l’intérieur de ces barils, on comprend tout de suite de quoi il s’agit.
À gauche, c’est le baril single coil. Et à droite, bien évidemment, celui pour le double coil. Encore une fois, l’architecture intérieure des barils rappelle plus que fortement celle du Coilturd RDA for Vaping, avec des parties pleines qui viennent réduire la taille de la chambre d’atomisation.
Vu du dessus, la différence de taille de la chambre est encore plus flagrante.
Et pour vraiment se rendre compte de ce que ça donne en vrai, voilà le Nitrous avec des coils montés sur le plateau.
Single coil de 3mm. (on voit qu’il pourrait y avoir la place pour une 6è spire)
Dual coil de 2.5mm.
Je sens que désormais, vous mourrez tous d’envie de savoir ce que donne ce petit Damn Vape dans chacune des configurations, pas vrai ? Ben désolé mes chers pirates, mais il va falloir patienter encore un peu !
Hé oui, j’ai dit qu’il y avait 2 raisons pour lesquelles j’avais choisi ce dripper. Bon, on va quand même faire vite parce que sinon, je vais finir par perdre tout le monde. Alors voilà, c’est tout bête, mais ce Nitrous est un tout petit RDA de… 22mm de diamètre.
22mm / dual coils : inutile d’en dire plus, j’en connais pas beaucoup qui peuvent se targuer d’avoir déjà vapé sur une telle config’. (nan, le Narda en dual coils de fils de pêche, ça compte pas !). Donc rien que pour ça, ben ce Nitrous RDA valait le coup…
Allez c’est bon, assez blablaté, on goûte maintenant !
Dégustations
Dans le packaging déjà bien fourni du Nitrous RDA, Damn Vape a eu la bonne idée de fournir également plusieurs coils. Des Fused et des Clapton mi-Ni80 mi-KA1. Ainsi que les plages de puissance conseillées.
L’intention est louable, mais n’ayant qu’une confiance très limitée dans les coils des fabricants, je ne les ai pas testés. Ben ouais, la rencontre avec un nouvel ato est un moment important, ce serait dommage de tout gâcher à cause de résistances toutes pourries.
En single coil, j’ai donc testé différents câbles, tous tortillonnés sur axe de 30 : Fused clapton 2*26/36 à 0.26 Ohm et Framed Staple à 0.25 Ohm de chez Coilology, et Flapton 22/38 à 0.22 Ohm de chez Flatwire.
À chaque fois, le résultat est vraiment remarquable ! En effet, le Nitrous RDA envoie une vape nerveuse et pleine de caractère, mais surtout de la saveur en veux-tu en voilà.
Ne vapant qu’en box à voltage variable équipée d’un potentiomètre, difficile de dire à quelle puissance j’ai pratiqué le bouzin.
À vue de nez, peut-être 70 ou 80 watts. Sur ces plages-là, le Nitrous RDA se comporte admirablement bien. Comme il est bien ventilé en full open, il encaisse sans moufeter ce genre de puissances et balance un volume de vapeur assez impressionnant pour un 22mm monté en single coil. Bien entendu, comme on est en bobine simple, la densité de vapeur est moyennasse, y’a pas de miracle. En revanche, les saveurs sont complètement dingues !!!! La précision de rendu est époustouflante, positionnant ce petit Nitrous comme un dripper de dégustation de tout premier ordre. Mes extraits de tabac sortent de manière tout à fait fidèle, c’est superbe. Mais là où le bouzin excelle véritablement, c’est dans l’intensité des saveurs !! Les 22mm, mais surtout le baril single coil à chambre d’atomisation ultra-réduite, permettent une saturation absolument hors-norme des arômes. Avec ce dripper, il est complètement inutile de tirer de grosses barres bien longues : on inspire calmement des bouffées de 2 secondes maximum, c’est amplement suffisant. Et pour cause : il n’y a aucun temps de latence pour que la mécanique se mette en place ; c’est tellement condensé au niveau des saveurs qu’au bout de 3 barres, on en a plein la gueule et on prend une pause. Véridique !
En fait, la donne est relativement simple : derrière ses airs de bébé cadum, ce Nitrous RDA déglingue haut la main la concurrence sur le créneau du single coil. Jamais vu un truc aussi intense en saveurs !!
Littéralement scotché par le rendu de barje de la bestiole, j’ai donc enchainé sans me faire prier sur du double coils, en prenant évidemment soin de changer de baril. Dans l’euphorie, je ne me suis pas pris la tête, j’ai installé un dual de Staple tourné sur axe de 30. Ben ouais, du Staple car c’est un câble qui a un coefficient de chauffe raisonnable, bien moindre qu’un Fused Clapton. On est sur un 22mm, il ne faut pas l’oublier. Je pensais avoir bien fait les choses avec ce choix de câble mais là, dès les 2 premières lattes, patatra…. Le soufflé est retombé illico ! Même en diminuant la puissance de vape, le Nitrous m’a envoyé une bouillie de saveurs, à des années-lumière du rendu en single coil. Pouahhh, vraiment pas bon….
J’ai donc immédiatement opéré un 180°, avec un dual de Clapton Ni80 24/36. 6 spires sur axe de 25 pour une double réz. stabilisée aux alentours des 0.25 Ohm.
Et là, bouuuuuum !!!!! Retour du bolide avec une vape teigneuse de folie !! Le même genre de rendu de ouf qu’en single coil, la densité de vapeur en plus. Po po powww !!! Démentiel. Irréel, même. Le hic, c’est qu’avec ces tout petits coils de seulement 5mm de largeur, les mèches de coton viennent immanquablement se positionner devant les 2 trous d’airflow situés aux extrémités. Autrement dit, on n’utilise alors plus que les 3×2 trous du milieu et le Nitrous devient vraiment restrictif en tirage. Ce qui, personnellement, ne me dérange pas tant que ça ; mais quand même suffisamment pour tenter une autre configuration de montage… Je ne l’ai pas encore mentionné, mais on trouve également dans le packaging une ‘beauty ring’ de 24mm, que voici.
Bien décidé à ne faire aucun compromis sur ce Nitrous RDA, j’ai, pour la première fois de ma vie de vapoto, tenté de tortillonner du Fused Clapton 2*26/36 sur axe de 25 ! D’ordinaire c’est toujours axe 30 avec ce câble. Mais il ne faut pas oublier que le deck du Nitrous accepte des bobines jusqu’à 8mm de large, alors si on veut exploiter l’entièreté des airflows, on est naturellement amené à confectionner des coils de 6 spires en câbles complexes. Et là les loulous, c’est BANCO !! Le Nitrous est alors dans sa configuration optimale. Toujours aux alentours de 75 watts, c’est sauvage ! Il envoie une vape supersonique, rageuse, très dense, hyper précise au niveau du rendu, et avec des arômes saturés à mort. Je me répète, mais c’est époustouflant. The claque de chez claque. Du même acabit qu’un Arcane XIII, mais un bon cran – voire deux – au-dessus, clairement. Pour tout vous dire, je trouve même que ce Nitrous RDA s’avère indécent pour la concurrence…
Conclu
Alors voilà… Si au départ, je dois bien avouer que les 22mm/dual coils promis par le Nitrous RDA m’ont fortement intrigué, j’étais loin de penser que le bouzin procurerait un tel rendu ! Bien sûr, il ne faut pas s’y tromper : le Nitrous RDA est avant tout un dripper saveur et n’est pas là pour balancer de la grosse vape aérienne de bûcheron, ce n’est pas son terrain de jeu. La cuve est relativement petite (25 à 30 gouttes maximum) – d’où le cotonnage préconisé plus haut dans l’article pour s’éviter de possibles projections de liquide à l’inspiration, voire des fuites par les airflows – et il faut vaper ‘calme’, c’est-à-dire ne pas tirer à pleins poumons comme un botch. Le Nitrous RDA est assurément aérien en full open et capable d’encaisser de bonnes puissances de vape, mais il est inutile de jouer les nerveux avec lui : il est suffisamment excité de lui-même pour vous en mettre plein la tronche dès 3 barres tirées. Moi c’est très simple : depuis que je l’ai reçu, je ne le lâche plus. Tout simplement parce qu’en termes de rendu de saveurs pur et dur, ce petit 22mm est sans égal. Une véritable pépite. Un OVNI, même : Objet Vapant Non Identifié. Je crois bien que d’ailleurs, si je devais n’en amener qu’un sur une île déserte… Oui je sais, j’ai déjà dit ça des dizaines de fois auparavant, mais là c’est pas pareil… Et puis voilà, quand je le regarde, il porte également tout une histoire : ce sera, à tout jamais, le dernier matos que j’aurai pu gratter auprès du désormais regretté Fasttech. Une fin en apothéose, quoi…
La bonne nouvelle, c’est qu’après quelques recherches, j’ai pu voir que contrairement à ce que j’ai annoncé en début d’article, ce Nitrous RDA est encore disponible à la vente sur le site du fabricant Damn Vape. Si je peux me permettre un conseil, à 45$ FDPI la ‘global version’, c’est cadeau !
Allez, il me reste à vous souhaiter une bonne vape à toutes et à tous, moi je retourne illico à mon raz-de-marée de saveurs hyper saturées, en Nitrous RDA bien-sûr !
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