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La légende de Luc

Luc était un jeune Français de la campagne profonde, plein d’ambition et de rêves. Depuis qu’il était enfant, il avait une passion pour les westerns. Son idole, Blondin ! Il aimait regarder des films sur le Far West et rêvait de devenir un vrai cowboy.

Un jour, alors qu’il était à l’université, il décida de faire quelque chose pour réaliser son rêve. Il économisa de l’argent et acheta un billet d’avion pour les États-Unis. Il quitta donc la France et voyagea jusqu’au Texas, où il commença à chercher du travail dans un ranch.

Au début, Luc avait du mal à s’adapter à la vie dans le ranch. Tout était différent de ce qu’il avait connu en France. Il devait apprendre à monter à cheval, à travailler avec le bétail et à se comporter comme un vrai cowboy. Cependant, il était déterminé à réussir et à réaliser son rêve.

Il avait encore beaucoup de choses à apprendre. Parmi les compétences qu’il devait acquérir, il y avait le dressage de chevaux.

Au début, il eut des difficultés à maîtriser les chevaux sauvages qu’il avait à sa disposition. Mais, déterminé, il observa attentivement les autres cowboys lorsqu’ils dressaient leurs chevaux, tout en cherchant des conseils auprès de ceux qui avaient plus d’expérience que lui.

Petit à petit, Luc apprit à comprendre le comportement des chevaux et à établir une relation de confiance avec eux. Il découvrit comment utiliser les rênes et les éperons pour les guider et à communiquer avec eux de manière subtile. Il comprit également l’importance de la patience et de la douceur dans le dressage des chevaux.

Avec le temps, il devint un cavalier habile et doué dans le dressage. Il était respecté par ses collègues pour ses compétences et sa capacité à gérer les chevaux les plus difficiles.

Le dressage devint une passion, il aimait passer des heures à travailler avec ses chevaux pour les rendre aussi agiles et obéissants que possible.

Luc travaillait dur pour prendre soin du bétail. Cependant, il avait encore un problème : il fumait beaucoup de cigarettes. Il savait que cela n’était pas sain et qu’il devait arrêter. Car tout ne se passe pas comme dans les publicités de Marlboro…. Le cheval est un art qui demande du souffle et de la forme physique.

C’est alors qu’il découvrit la cigarette électronique. Un de ses collègues cowboys vapotait et lui expliqua comment cela fonctionnait., car lui n’avait pas le temps d’aller sur des sites comme Danyvape.

Au début, cela lui fut difficile de s’habituer. La sensation était différente de celle de fumer une cigarette. Il toussait beaucoup et sa gorge était sèche. Il avait l’impression que la vapeur de la cigarette électronique n’était pas aussi satisfaisante que la fumée de cigarette qu’il avait l’habitude d’inhaler.

Toutefois, Luc était déterminé à arrêter de fumer pour sa santé et pour se sentir mieux. Il continua à l’utiliser, même s’il trouvait la sensation étrange.

Au fil du temps, il commença à s’habituer à sa nouvelle compagne. Sa toux diminua et sa gorge se familiarisa à la vapeur. Il réalisa également qu’il pouvait choisir différentes saveurs plus douces, ce qui rendait l’affaire plus intéressante.

Un jour beau jour de juin, son équipe fut attaquée par un groupe de bandits lorsqu’ils surveillaient le bétail. Ils prirent plusieurs bêtes et les emmenèrent dans leur repaire.

Luc savait qu’il devait agir rapidement pour sauver son troupeau. Appeler la police aurait pris trop de temps. Il décida donc de former une équipe de choc pour les libérer. Cependant, les bandits n’avaient pas l’air commodes et il était difficile de les attaquer de front.

Il eut alors une idée.

Ils s’approchèrent discrètement du repaire des bandits. Lorsqu’ils furent à proximité, le petit groupe commença à jeter dans le barbecue allumé leurs accus, qui explosèrent en faisant un bruit du tonnerre ! Les bandits furent pris par surprise et prirent ce raffut pour des détonations de pistolet, tout en déguerpissant, sans demander leur reste…

Profitant de la confusion, Luc et sa bande envahirent rapidement le repaire et libérèrent les bêtes dérobées.

Après cet incident, Luc reçut une reconnaissance pour son ingéniosité et son courage. Il était fier d’avoir pu sauver son troupeau, grâce à sa fidèle compagne. Cette expérience lui montra également qu’il était important de rester vigilant et prêt à agir dans toutes les situations difficiles.

Luc remarqua rapidement les avantages de la vape. Il avait bien plus d’énergie pour travailler dans le ranch, il n’avait plus l’odeur de tabac sur ses vêtements et il économisait beaucoup d’argent en n’achetant plus de Marlboro. Il se renseigna un peu plus en avant, fasciné par ce nouveau monde et découvrit le Navire de la vape, qui lui donnait la nostalgie de son pays natal.

Aujourd’hui, Luc est fier de sa décision d’arrêter de fumer grâce à la vape. Il ne travaille plus dans le ranch, mais aime toujours monter à cheval. Il a réalisé son rêve d’enfant et ne fume plus. Il est heureux de pouvoir respirer librement et de vivre sa vie à plein poumon !

Depuis ce jour de juin, tout le monde l’appelle Lucky Luc.

Cette histoire est vraie, peut être un peu romancée, peut être pas, comme toute légende.

Et vous, quelle est votre légende ?

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Ecrit par Lucky Luc

Yah! Je vis depuis quelques années dans le centre des USA et suis vapoteur depuis fort longtemps. J'aime les chevaux, la pêche et la vape. On dit aussi que je vape plus vite que mon ombre... J'ai l'honneur de faire des articles pour le Cap's, le Big Boss de ce vieux rafiot, sur mes retours matos et mon expérience. J'aime pas en faire des tartines, donc je serais bref. Good vape for all ! Yaaah!

8 Comments

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  1. Article fort sympathique ! Ça sent vaguement la fiction, mais après, on parle d’un truc qui se passe aux usa… Donc possible, surtout au Texas 🤣
    Je me demande comment se porte la vape au Texas vu les lois pondues en Amérique ces derniers temps.

  2. Tu as eu raison de ne pas suivre la destiné du cow boy Marlboro. Je crois qu’il est décédé d’un cancer… :yes: :unsure: :cry:
    Et bien moi j’ai arrêter la clope le jour où j’ai entrepris de traverser la cordillère des Andes quand une plaie suite à une chute de 14m à commencé à se gangrener. Pendant que j’essayais d’échapper à un groupe de narco trafiquants. La prochaine fois je vous raconterai comment j’ai sauvé 59 enfants dans un dispensaire au nord de Bamako :mail: :yahoo: :-)
    Bon la véritable histoire c’est mon plan Q qui m’a parlé pour la première fois de la e cig. :whistle: :yes: premier essaie pas concluant. Et 4 ou 5 ans plus tard l’idée m’est revenu d’essayer avec autre chose qu’une cig like. Et là bingo j’ai vapo fumé durant 15j puis comme c’était meilleur que la clope. J’ai arrêté la clope. Je n’en revenais pas moi même. Sans heurt ni violence. :good:
    Merci pour le billet Luc :heart:

  3. N’y avait il pas une « Gitane » qui dansait autour du feu lorsque ton groupe et toi, « Lucky », faisiez un « Strike » avec vos 18650 sur le gang de « Philippe » et « Maurice » ?
    La récompense reçue des mains propres de Mr. « Johnson » pour avoir ramené les « Camelles » dans leur enclos, n’était-ce pas un « John Player Spécial »?

  4. Merci pour le partage d’expérience, Luc ! :good:

    C’est marrant que tu parles de tes débuts dans la vape : pas plus tard qu’hier, j’étais chez une cliente dont le jardin « tout en pente » est aménagé en terrasses (façon rizières). Ma cliente avait fait venir des artisans qui bossaient sur la terrasse du bas (tout au fond du jardin donc). Moi, j’étais sur celle du haut en train de me faire une pause vape trankilou quand, à un moment donné, je vois une des artisans remonter jusqu’à la terrasse du haut. La nana arrive à mon niveau, complètement essoufflée. Bon ok, ce jardin est assez physique car il faut monter des marches pour passer de terrasse en terrasse, mais tout de même… Je l’interroge, elle me répond « bah ouais, la clope »…. J’ai eu un réflexe con : je lui réponds « quoi, tu fumes encore ? », comme si c’était évident qu’il fallait vaper… De là, on commence à discuter clopes/vape, et je lui raconte mon expérience, comment j’ai arrêté de fumer…

    C’était un soir d’été, il y a 11 ans. 2 heures du mat’, peut-être 3h même, je ne sais plus. J’étais sur ma terrasse, en train de me siffler mon « cône du soir », celui qu’on prend juste avant d’aller dormir… :-) Là, j’entends ma femme qui m’appelle. « Chéri, faut qu’on aille à l’hôpital. Tout de suite !! » : elle venait de perdre les eaux…
    Oh putain, c’est le grand jour, je vais devenir père…. Euh ouais OK, super, sauf que là, j’suis pas vraiment en état de conduire : j’suis complètement déf….. :wacko: :wacko: :wacko:
    Je ne sais pas vraiment ce qui s’est passé dans ma tête à ce moment précis, j’ai sûrement pris conscience que c’était vraiment craignos de ne pas pouvoir assurer les choses « à cause de la Marie ». J’ai alors éteint calmement mon calumet dans le cendar, et on est allé à l’hôpital…. Le lendemain, j’entrais pour la première fois de ma vie dans un vape shop, sans me douter que la clope que je venais d’écraser sur le trottoir devant la boutique serait définitivement la dernière de ma vie…
    Merci ma fille !! :heart: :heart: :heart: C’est sans doute grâce à toi que j’ai réussi à sortir des griffes de la tueuse… :scratch:

  5. Moi c’est plus simple, il y a quelques années j’ai réalisé que pour monter les 5 étages à pied qui menaient à mon petit appartement marseillais, j’étais obligé de faire une pause au 3e….le reste a pris très longtemps et je n’habite plus au 5e sans ascenseur depuis des lustres, mais ça a été le déclencheur !

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:unsure:  ;-)