Le dry hit, tous les vapeurs connaissent. Ce coton qui sèche dans la cheminée alors que le tank est rempli de liquide et qui donne un goût de brûlé et peut même arracher la gorge.
Au début de mon expérience avec l’ecig, je voyais bien quand il n’y avait plus de liquide dans mon Stardust V 3, mais depuis que je suis passé aux reconstructibles, c’est une autre histoire…
D’ou vient le dry hit?
Il peut y avoir plusieurs explications suivant l’atomiseur qu’on utilise et il est plus ou moins facile d’y remédier :
Les dripper
C’est simple, avec un dripper il est impossible d’avoir un dry hit si on a assez de liquide sur le coton ou la fibre.
Mais, comme généralement, on ne voit pas ce qu’il reste dans le tank en métal, on peut se prendre vite fait un dry. Question d’habitude. Si on sait que 20 gouttes font 10 taffes, il reste plus qu’à compter dans sa tête ; sinon, c’est l’expérience qui comptera.
Les atos reconstructibles
Tout se complique avec les atomiseurs style Kayfun-Taifun et tous les autres Subtank qui fonctionnent avec ce principe.
Il est TRES important de bien positionner son coton, à couper au ras du filetage au-dessus des fentes d’arrivée de liquide. Surtout, ne pas boucher ces fentes avec un coton trop long. Cela m’arrive régulièrement de foirer le positionnement, encore hier ou j’ai du recouper 3mm de coton de chaque coté qui se coinçait dans le filetage de la cheminée.
À remarquer qu’au début, on peut n’avoir aucun souci et le dry hit arrive après quelques taffes. Pour ma part, cela arrive si je n’amorce pas la résistance après chaque remplissage avec TOUS les atos bottom coils. Surement une question de dépressurisation?
Une solution qui marche une fois sur deux c’est d’aspirer à vide 3 ou 4 fois, on verra des bulles remonter, mais ça ne fonctionne pas toujours si le coton est mal positionné.
Les résistances toutes faites
On pourrait se dire qu’avec les têtes pré montées, il n’est pas possible d’avoir de dry hit, ce qui est sur au début si on amorce avec quelques gouttes de jus avant utilisation, mais on aura tout de même un goût de brulé au bout de quelques jours de vape. Ce goût annonce la mort de la résistance et il est temps d’en changer.
Conclusion
Cette histoire de dry hit me gonfle, surtout avec les reconstructibles, mais le souci est toujours un souci de montage, au mm près, on peut tout louper.
Je dis ça pour les atos qui fonctionnent bien et tout d’un coup donnent des dry hit, sinon l’atomiseur peut être mal usiné (CF le Russian de Nes) mais c’est assez rare.
J’en ai mangé du dry hit, et parfois, c’est très violent !
Et vous ?
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