Jamais, au grand jamais, je ne ferai de revues sur des eliquides.
Pourquoi ?
Car si faire des revues sur du matériel est basé sur l’appréciation de l’auteur, rendant l’avis très subjectif, celles-ci permettent de mettre en avant les caractéristiques techniques du matos décrit.
Ces données peuvent sensibiliser le lecteur sur un éventuel achat ou a contrario une économie potentielle.
Alors que pour les jus, que nenni. Pas de données particulières, uniquement les papilles du testeur qui font office de verdict. La quintessence de la subjectivité poussée à son paroxysme. Eh ouais, rien que ça. Si vous n’avez pas compris, sachez que moi non plus.
Et puis je les vois les influenceurs de réseaux sociaux. Certains poussant la mise en scène sur fond musical très bruyant, en déguisements farfelus, parfois même en couple, à gueuler pendant 2 plombes pour s’extasier à chaque nouveau liquide fourni par le fabricant.
S’il vous plaît, si je deviens comme ça, balancez-moi par-dessus bord !
Mais ça ne risque pas de m’arriver, puisque j’ai dit que jamais je ne ferai ce genre de revues……
Je me souviens maintenant que Maman me répétait souvent durant ma tendre enfance « Il ne faut jamais dire jamais ».
Par respect pour elle, je vais aujourd’hui lui donner raison. Et vous emmener en voyage sur la côte est Anglaise, dans le Lincolnshire, commune de Louth, à 130 km de Sheffield pour être très précis.
Calmez-vous tout de suite bande de malades. Quand je dis que je vous emmène, c’est une image.
Loin de moi l’envie de charger à bord du Navire des centaines de fous furieux, avec leurs armoires à vape pour unique bagage. Omettant au passage d’emmener le moindre ciré, priorité vestimentaire à emporter Outre-Manche.
Non. Pour faire partie de cette expédition, il vous suffit de lire ce billet en fermant les yeux et de laisser la magie opérer. Je me charge du reste.
Le choix de la destination peut surprendre les plus exigeants qui auraient préféré soleil, cocotiers, plages de sable fin et femmes dénudées.

Le choix de notre destinée est uniquement le fruit de mes nombreuses heures de surf sur la toile à fouiner tous les sites de vape que je peux trouver. Moi aussi j’aurais préféré tomber sur des nanas en bikini, mais Bobonne a activé le contrôle parental.
Il faudra donc se contenter de ma dernière découverte : The Brews Bros.
Un fabricant de eliquides (et concentrés) non commercialisés en France, à prix tout rikiki.
Ouais bah prix mini, je connais. MacDyer et Solubarome non plus c’est pas cher, mais ce n’est pas du caviar hein. Oui, certains apprécient ces références, on en revient à la subjectivité de mon introduction. Mais les retours sur ces gammes sont comparables aux choux de Bruxelles……
Et quand je parle de coût dérisoire, on est bien plus bas que les 2 marques citées. C’est l’un des critères qui m’a incité à partager avec vous cette découverte.

En prêt à vapoter, en choisissant les options 0 mg, nicotine, 30PG/70VG, les tarifs moyens hors promo sont les suivants :
-10 ml pav 0 mg nico, non nicotinable: 0,99 £ /1,19 €
-50 ml pav 0 mg nico: 5,99 £/7,19 €
-125 ml 0 mg nico: 5,75 £/6,90 € à steeper soit même entre 7 et 28 jours
-250 ml 0 mg nico: 11,49 £/13,78 € à steeper soit même entre 7 et 28 jours.
N’étant pas habitué à céder à la tentation, vous comprendrez qu’en voyant ces prix……. je me suis rempli un petit panier et j’ai effectué le paiement.
Les frais de port étant de 8 £/9,59 € pour la France, il me fallait trouver le parfait équilibre entre amortissement et risque de ne pas aimer.
J’ai donc par sagesse pour ma première expérience, uniquement craqué sur 9 samples (10 ml) et 2 Shorts Fills (50 ml). Et reçu 5 jours plus tard, sous enveloppe et papier bulle, ma commande, additionnée de 3 samples en cadeau.
Et je vais immédiatement vous donner mon ressenti sur chacune des références commandées. Non sans avoir une pensée pour les quelques marins qui ont suivi mon conseil et ont encore les yeux fermés, attendant d’être transportés par la magie.
Thrashed :
Descriptif : Tarte aux pommes et cannelle.
Ressenti : Ma crainte sur ce liquide, c’est la cannelle. Les rares jus en contenant ont toujours eu chez moi la dominance de cette épice.
Celui-ci déroge à la règle. On est immédiatement imprégné d’une pomme cuite/compote légèrement sucrée, rehaussée à l’expiration par la touche de cannelle. On se retrouve en fin de vape avec un mélange des deux parfaitement équilibré.
La pâte est en revanche très peu marquée, voire absente par moment. Si certains y verront un défaut majeur, je trouve l’ensemble très harmonieux et savoureux.
Une petite erreur de descriptif, sans quoi on aurait débuté par un sans faute. J’en recommanderai avec certitude.
Piña Koolada :
Descriptif : Limonade à l’ananas.
Ressenti : Parfois, le cerveau nous joue des tours, nous faisant ressentir des éléments qui sont le fruit de notre imagination.
Impossible de définir si c’est la dénomination de ce liquide qui me fait ressentir de la noix de coco, ou si le descriptif (traduit automatiquement par Google) est erroné.
L’ananas titille mes papilles dès le début, mais avant de céder sa place au citron, une franche touche de fruit de cocotier envahit mon palais.
L’ensemble a beau être agréable -je viderai sans rechigner les 50 ml-, il ne marquera pas pour autant mon expérience de vapoteur. La limonade annoncée est pour moi uniquement une touche citronnée sans l’effet bulles.
Pour ceux qui le connaissent, le Pineamon de Fresh & Sweet est similaire, la touche de coco en moins, mais avec des saveurs plus marquées.
Holy Trinity :
Descriptif : Crème brulée.
Ressenti : Ah je dis Oui ! Fermez les yeux (enfin pour ceux qui les ont gardés ouverts), et imaginez une fine pellicule de caramel croustillant sur une très gourmande crème aux œufs légèrement vanillée.
Plongez la cuillère encore et encore dans le ramequin, oh punaise, c’est bon hein !
Et regardez-le l’autre là-bas, qui plante sa cuillère dans les yeux du chien avec ses yeux fermés… Ah j vous jure on a des génies sur le Rafiot.
Je ne suis pas un inconditionnel des crèmes custards, mais celle-ci est maitrisée à la perfection pour un rendu d’un réalisme rare.
Je déconseille en revanche de renifler ce liquide. À l’odeur, sur une échelle de 1 à 10, celui-ci se serait méchamment cassé la gueule dès le 1er barreau. Mais les amateurs de Maroilles savent à quel point un truc qui pue peut-être exquis.
Et pour vous rassurer, ses effluves nauséabondes s’estompent une fois le liquide vaporisé.
Donut Blues :
Descriptif : Beignet aux bleuets.
Ressenti : Le beignet en vape, c’est pas mon délire. Le rendu trop gras des 3 que j’ai testés m’ont tous rapidement écœuré. Les fleurs, c’est pas mon kif non plus. Alors les beignets aux bleuets ça promet…
Et pourquoi j’en commande alors ? Je ne saurai répondre avec précision la raison qui m’a poussé à choisir cette référence.
Certains penseront à juste titre que j’ai pas inventé le fil à couper le beurre mou. Je préfère penser que je suis audacieux (et puis pour 1,19 € le risque…).
La chance sourit aux audacieux, et je suis ravi de ressentir dès la première taffe un gâteau à la myrtille. Aucun coté gras, mais plutôt une très légère touche de pâte gourmande typée cake relevée par une bonne grosse myrtille.
On est loin de ce que j’imaginais à lecture de la description, mais le résultat me convient totalement.
Je pourrai facilement confondre ce liquide avec le Spectre de Cloud’s of Lolo que j’apprécie particulièrement. Le jus de Laurent Cardon proposant juste une légère touche de crème en plus.
Black Reserve :
Descriptif : Tabac, miel et crème.
Ressenti : Les tabacs gourmands ont été mes premiers amours en vape. Et mon retour récent au MTL me fait revenir sur ce type de liquide.
Ce black réserve est parfaitement équilibré, aucune dominante entre le tabac et le miel.
On est en présence d’un classic blond légèrement corsé qui s’exprime très rapidement, adouci par un miel typé acacia qui s’incruste à l’expiration.
Je ne parviens en revanche pas vraiment à retrouver le côté crémeux du descriptif, mais le gout de reviens-y suffit amplement à me combler.
Shook Ones :
Descriptif : Milkshake framboise.
Ressenti : Celui-ci n’est pas forcément fait pour moi sur le papier, mais il fait partie des 3 ajouts offerts dans le colis. Et comme c’est un cadeau, je vais forcémment adorer.
Enfin tout compte fait pas forcémment. La framboise est très réaliste. L’impression de l’avoir cueillie à l’instant (ok en plein mois de mars, c’est compliqué), celle-ci est peu sucrée et légèrement acidulée.
Ce qui me dérange, c’est le côté lacté non crémeux qui vient enrober le fruit.
Si ce jus ne m’est pas destiné, il a le mérite de remplir sa promesse et ravira très probablement les amateurs de milkshakes.
Well Baked :
Descriptif : Cuisson cerise.
Ressenti : Wow wow wow. Alors là, on est en présence d’un jus qui tabasse. N’interprétez pas par là que je le trouve exceptionnel, je veux simplement dire qu’il est très marqué en gout.
La bonne surprise, c’est que je ne retrouve pas le côté chimique ressenti sur mes rares tests de liquide à la cerise. On est plutôt sur un fruit cuit, très (trop ?) sucré.
En début de vape, je ressens un côté sirupeux, qui vient s’effacer pour laisser place à la cerise cuite rencontrée dans un clafoutis (merci à Brews Bros de les avoir dénoyautées, ça m’évitera de boucher les toilettes).
À l’expiration je retrouve le tout assemblé avec un léger coté gourmand que je ne saurai définir, me rappelant sur certaines puffs le Catrina de Ladybug.
Les qualités de ce jus auraient tendance à le desservir. Inutile d’envisager vaper un autre jus sur le même coton ou résistance après avoir passé du Well Baked. Un nettoyage de l’ato/clearo étant même conseillé afin de faire oublier le goût de ce très bon liquide.
Custard Dinasty :
Descriptif : Crème sablée au caramel.
Ressenti : J’ai beau être pâtissier, la crème sablée je n’en ai jamais entendu parler. Nos amis Anglais auraient ils mis récemment au point un dessert dans lequel ils auraient incorporé un ingrédient récolté sur la magnifique plage de Ramsgate?
Si le descriptif est plutôt flou (la traduction automatique de Gogol est peut-être responsable), la vape, elle, s’avère divine.
Je retrouve tout simplement une excellente crème anglaise, ni plus ni moins. Dès l’aspiration, les prémices de la régalade font leur apparition. À l’expiration, c’est l’extase, mon anglaise (la crème hein, et non Pippa Middleton) explose en bouche.
Je dirai que l’on a fini de cuire cette custard à la nappe il y a une petite heure, juste tiède sur mon montage (Ripley 0,6 ohm à 24W). Onctueuse, pas écœurante ni chimique, c’est du grand art.
En revanche on m’annonce du caramel, pour ma part, j’ai surtout une note vanillée en bouche.
Mais je m’en tape, j’ me régale épicétou.
Symbiosis :
Descriptif : Myrtille et grenade.
Ressenti : Si vous êtes fan de paris sportifs et que vous avez l’occasion de miser sur un combat grenade versus myrtille, n’hésitez pas. Misez tout sur la grenade, elle va tout exploser.
Non, ce n’est pas un mauvais jeu de mot. Le fruit du grenadier percute de plein fouet à l’aspiration et à l’expiration. La myrtille essaie par moment de se relever -principalement une fois la vapeur évacuée- pour bégayer quelque chose.
Mais c’est à peine perceptible, et surtout trop tard. L’arbitre est déjà au-dessus d’elle a terminer son décompte » 8 – 9 – 10 – K.O ! ».
Vous l’aurez compris, on est plus proche d’un mono arôme agrémenté d’une très subtile touche de myrtille. Ce jus à tendance à me rappeler le sirop Teisseire à la grenadine de ma jeunesse. Bien réalisé, un peu trop sucré pour moi, il trouvera avec certitude des amateurs.
Lincolnshire Pudding :
Descriptif : Crème à la vanille.
Ressenti : C’est le 2ᵉ cadeau ajouté à ma commande. Le premier ne correspondait pas à ma vape, j’espère que celui-ci saura mieux me convenir.
Ouais, bon, je ne vais pas tourner autour du pot. Sur cet essai, je ne ressens vraiment pas grand-chose. Craignant même un début d’agueusie dont je n’ai pas été frappé depuis plusieurs mois. Après vérification, je suis rassuré, mes papilles fonctionnent toujours à la perfection.
Me permettant à l’inspiration de ressentir quasiment rien, si ce n’est un soupçon de vanille lointain. À l’expiration, aucune différence.
En revanche, au bout de quelques secondes, je retrouve effectivement en bouche un gout de vanille un peu plus prononcé, légèrement crémeuse.
Pas mauvais, mais des saveurs réellement trop discrètes pour me convenir.
Odin :
Descriptif : Rhubarbe et crème anglaise.
Ressenti : En un mot : Perturbant.
Après 3 ml passés, je n’arrive pas à me faire ma propre conclusion, ne sachant pas définir si j’apprécie un peu, beaucoup, ou à la folie.
Aucune barre ne donne le même résultat. Tantôt une rhubarbe très réelle est l’unique saveur, étant remplacé à la puff suivante par un côté crémeux adoucissant le fruit. Parfois l’excellente crème du Custard Dinasty viens s’inviter seule à la fête.
Les deux arômes annoncés sont bien présents et très bien réalisés, mais je reste sur ma faim. Un peu à l’image de 2 amoureux timides, la crème et le fruit sont attirés l’un envers l’autre, mais aucun ne veut faire le premier pas, rendant leur union compliquée. Plus j’avance plus tu recules, comment veux-tu, comment veux-tu que je t’…..oups.
S’il ne lui manque vraiment pas grand-chose pour être une grosse révélation, il reste pour moi tout de même assez original et très agréable à vaper.
Gemini :
Descriptif : Tarte au citron.
Ressenti : Alors là, il va falloir envoyer du lourd pour me convaincre. On s’attaque à mon dessert préféré (ben ouais, un pâtissier ne raffole pas forcémment de gâteaux incroyablement complexes).
Il y a quelques années, je commandais le moindre liquide qui m’annonçait ce goût.
Si je n’ai jamais fait le décompte, je peux affirmer en avoir testé plusieurs dizaines.
À l’heure actuelle, seules 4 références ont marqué ma mémoire gustative : Onena de Cloud’s of Lolo, Citron d’antan de Corsicavap, Tarte au citron de Beurk Research et Lemon Tart de Dinner Lady.
Il ne me faut pas plus de 4 ou 5 puffs sur cette dégustation pour être convaincu que celui ci va rejoindre ma liste des favoris.
L’agréable pâte sablée attaque dès l’aspiration, le citron acidulé juste comme il faut prend le relais en début d’expiration pour terminer avec un mélange des 2, enveloppés d’un nuage de meringue ultra légère.
Si je trouve l’ensemble de cette réalisation d’une incroyable précision, c’est sa meringue qui me bluffe le plus. Malgré toutes les références testées, j’ai toujours eu du mal à retrouver les sensations de ces blancs au sucre montés en neige.
Sur celui-ci l’effet se ressent immédiatement et englobe cette tarte très réussie d’un réalisme que je ne souviens pas avoir déjà rencontré.
À titre de comparaison avec mes références préférées, je lui retrouve un peu le côté crémeux citron du Onena tandis que l’excellente pâte sablée se rapproche du Citron d’Antan. Il se démarque totalement grâce à son enrobage meringué.
Il ne joue pas dans la même cour que le Dinner Lady que j’avais surtout apprécié à mes débuts, le trouvant désormais trop sucré et chimique.
Incontournable pour moi.
Butter Cups :
Descriptif : Chocolat blanc et beurre de cacahuètes.
Ressenti : Aïe, on passe au 3ᵉ et dernier cadeau. Et les 2 premiers n’ont pas vraiment été à mon goût.
C’est peu dire que celui-ci ne m’emballe pas vraiment au départ. Chocolat en vape, c’est délicat, pour ne pas dire très compliqué.
Mais là on est sur du blanc, que je n’ai jamais testé, alors je garde espoir d’être surpris.
Le beurre de kawets je n’ai jamais essayé en eliquide, et n’en ai que très rarement consommé. Non pas que je n’apprécie pas, mais je n’ai pas accroché plus que cela à cette saveur.
Et alors en vape ?
Eh beh c’est vachement bon kré vindju!
Le chocolat blanc annoncé est pour moi plutôt un blond type Dulcey, avec son côté sucré – sans être outrancier – accompagné de sa légère note caramélisée. Il arrive dès l’amorce du Fire.
Enrobant un beurre de cacahuètes – très réaliste – pour obtenir un rendu très gourmand tout en légèreté.
Une excellente surprise, que je n’aurai jamais osée tenter et qui viendra garnir mon prochain panier avec un format bien plus conséquent.
Game Over :
Descriptif : Gobstoppeur.
Ressenti : Les esprits les plus perspicaces (on est d’accord que ceux qui sont encore en mode aveugle ne sont pas concernés), auront compris au nom du jus que ce sera le dernier test du jour.
Le plus excitant, mais le plus flippant aussi. Aucun indice sur le goût de ce breuvage n’est donné dans la description.
Sans renifler, juste en ouvrant le flacon, le suspense est terminé. Les effluves sont d’une rare intensité. Un bonbon Arlequin se trouve dans la fiole.
Au goût, on s’y retrouve complètement. Sucré juste comme il faut, une légère acidité, le goût de ce fameux bonbon dont je raffolais étant jeune est magnifiquement retranscrit. Pour le plaisir des plus petits (enfin à partir de 18 ans quand même) et des plus grands, les caries et frais de dentiste en moins.
Malheureusement, les bonbons dans la vape, ce n’est pas pour moi. Bien que celui-ci soit une franche réussite de réalisme, je me contenterai juste de finir ces 10 ml.
Conclusion :
Peu habitué aux marques anglaises, (Vampire vape et son fameux Heisenberg invapable pour moi, et Dinner Lady sont les 2 seules que je suis capable de citer sans réfléchir), la découverte de cette enseigne m’a grandement ouvert les yeux sur les capacités de nos amis British à produire des jus de qualité.
Loin de moi l’idée de dire que cela révolutionnera le monde de la vape, d’ailleurs une marque de liquide est-elle déjà parvenue à accomplir un tel exploit ?
En revanche, le tarif proposé pour ces jus, bien meilleurs (à mon goût bien entendu) que de nombreuses références, en moyenne 4 à 6 fois plus chères, m’a poussé à partager avec vous cette fabuleuse découverte.
Pour tous ceux qui seraient tentés par l’aventure, ne paniquez pas, nul besoin de sortir le canoë pneumatique et de souquer jusqu’aux côtes du Lincolnshire.
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Vous pouvez maintenant rouvrir les yeux, le spectacle est terminé.
Bonne vape à tous et rendez-vous à la prochaine escale…….

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