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Bilan 2020 de Clandestino : la boîte de Pandore

2020. En numérologie, année « 4 ». Je ne suis pas un adepte de la numérologie, mais quelque part, je crois à la symbolique des nombres. Juste par curiosité, je viens de lire un truc à l’instant même à ce sujet, qui parlait de ce qui nous « attendait » pour 2020 : « …Mondialement, nous entamons donc une année de concrétisation et de consolidation des compétences. Des lois importantes devraient être votées pour stabiliser des situations. La sécurité sera également une question centrale. Le 4 est aussi un chiffre qui apporte des valeurs de travail et de concentration. Cette année, la vie professionnelle sera capitale pour tous. Il faudra absolument stabiliser les situations sinon des cassures, principalement dans le milieu de l’emploi, seront à déplorer. Il sera nécessaire de prendre également soin de la santé, pour pouvoir tenir sur la durée tous les efforts fournis. Cette année en 4 sera probablement stressante et fatigante… » (source: cosmopolitan.fr , ouais, je sais…). Troublant, nan ? Évidemment, ça fait très « horoscope Télé 7 jours », mais avec le recul… Putain si on avait su c’qu’on allait prendre dans la tronche…

Comme pour beaucoup d’entre vous j’imagine, pour ma part je n’aurai pas vibré super cette année. Sales ondes. Mais j’me plains pas, ça aurait pu être pire. Heureusement dans tout ça, il y aura eu la vape. Et le Navire. Belle bulle d’oxygène et d’évasion, histoire de penser à autre chose.

Côté Vape, 2020 aura effectivement été une année de consolidation me concernant. J’avais terminé 2019 avec une timide mais prometteuse incursion dans la vape DL, moi qui étais alors un MTLeux pur et dur, et assumé. Globalement, 2020 aura enfoncé le clou, et marqué une évolution notable dans mon style de vape : je kiffe toujours autant le MTL, mais désormais, c’est aussi avec un vrai intérêt que je lorgne les atos ou drippers à tirage ouvert.

Côté finances, j’avais également terminé l’exercice précédent avec une belle mandale dans les gencives, et m’étais promis d’être plus raisonnable pour 2020. Est-ce que j’ai réussi ? Pfff, tu parles… Que dalle. Promesses d’ivrogne ouais ! En chiffres, ça donne ça :

Quasiment 1800 boules, hors cadeaux et produits sponsorisés. C’est très légèrement plus que l’an dernier, mais bon, cette fois ça va. J’me suis fait une raison : c’est mon budget annuel pour me faire plaiz’. On verra si j’arrive à faire moins en 2021…
Niveau répartition des dépenses, c’est assez similaire à l’an dernier :

Un peu plus de boxes/mods (12), un peu moins d’atos (29), et surtout une augmentation significative des consommables. Mais c’est logique, on verra pourquoi tout à l’heure.

Voilà pour la situation figée au 31 décembre. Mais une photo à l’instant T, c’est naze. Ça ne me plaît pas, parce que ça ne veut rien dire, et parce que ça ne rend pas compte de la dynamique des choses. C’est pourquoi j’ai choisi de vous présenter mon bilan 2020 – non exhaustif, sinon vous y êtes encore dans 3 jours – de manière chronologique. Allez, c’est parti pour une année de vape !

JANVIER-FÉVRIER : le calme après la tempête

Encore meurtri par mon déplorable bilan financier de 2019, je suis remonté comme un coucou et plus motivé que jamais pour tenir mes résolutions. Le début d’année est donc des plus calmes, d’autant que je me régale depuis quelques semaines déjà sur le SiChro, petit RDA suisse de 22mm typé ‘saveurs bien saturées’.

A ce moment-là, je crois même dur comme fer avoir trouvé en lui mon dripper ultime, « celui que j’emmènerais sur une île déserte », que j’disais dans ma revue : pffff, n’importe quoi !
Toujours sur le même créneau, le Aston 22 vient agrandir la collection, et même s’imposer sur mon podium de la catégorie.

Faut dire qu’avec sa facilité de montage, ses finitions impeccables et surtout son rendu d’une grande fidélité, il a la gueule de l’emploi et répond parfaitement à mon cahier des charges du moment.
Un petit achat tout de même pour conclure en beauté ce mois placé sous le signe des saveurs :

Le Precisio de BD Vape, revue express

Le Precisio est présenté par Jib, et Jib, c’est quand même le mec qui a amené le Hypersonic sur le Navire. Alors quand il recommande un truc, on l’écoute, on salive, et… on craque. Merci Jib, je ne serai vraiment pas déçu par ce fabuleux petit RTA, qui offre une grosse saturation des arômes, comme j’aime ! Tellement conquis par cet ato – qui a d’ailleurs encore toute sa place dans ma rotation MTL aujourd’hui – que je le doublerai, cette fois-ci équipé de l’extension 5.4ml qui va bien.

 

MARS : changement de cap

Tout va donc pour le mieux à ce moment-là, j’suis content de mon petit matos MTL / RDL, alors je débute le mois par l’acquisition d‘un truc que je cherchais depuis un moment : une petite box mono accu. Ce sera la Take it Go de chez Ultroner :

Je ne la présente pas sur le Navire, parce que j’arrive à en arracher un des tout derniers exemplaires en soldes, et que ça ne sert pas à grand-chose de venir faire le mariole sur le pont avec un matos désormais introuvable. Mais ce petit bijou est fait d’alliage de zinc et de bois stabilisé, et c’est donc avec la classe internationale que je continue encore aujourd’hui à rôder mes coils.
Normalement, j’aurais dû en rester là, mais c’était sans compter le talent du Kant’, qui quand il s’y met, n’a pas son pareil pour engrainer la galerie :

Test express du Dead Rabbit V2 RDA par Hellvape.

À ce qu’il paraît, les saveurs sont garanties avec ce Dead Rabbit V2, alors bon, qu’est-ce que j’risque ? D’autant que j’ai une petite idée derrière la tête, et que je suis alors à la recherche d’un RDA 24mm. Allez boom, banco ! Va pour le lapin crevé. Sans le savoir sur l’instant, ce choix s’avérera décisif pour la suite, car oui, grâce à son système d’air orienté vers le bas, ce dripper envoie bel et bien de superbes saveurs, bien denses et magnifiquement saturées ! Il n’avait pas menti, l’animal ! Merci mon poto, ça a été une superbe découverte dont je me délecte parfois encore aujourd’hui !
Mais c’est pas fini : pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Hein, pourquoi ? Je vous l’demande ! Après le RDA 24mm, il me faut donc un RTA orienté DL en 24mm :

[replique] Le Reload rta

Et c’est sur le Reload 1er du nom, cher à notre Nes’ adoré, que je jetterai mon dévolu. Là encore, c’est un franc succès ! Je ne connaissais pas la « vape qui poutre » à la sauce Nesquick, mais là ça y est, j’comprends ! L’adhésion à cette vape punchy et sauvage est immédiate, si bien que quelques jours seulement après avoir reçu mon pauvre clooney, je m’offre une version originale. Merci mon Nes’ pour les nombreuses allusions à cet ato, régulièrement semées dans divers commentaires : toi aussi t’auras joué un rôle décisif ! Je ne le sais pas encore, mais ça y est : la boîte de Pandore est ouverte.

 

AVRIL : j’avais déjà découvert les fil(s)

Oui parce que si jusqu’à présent, je n’avais pas vraiment accroché sur la vape DL, c’était un peu de la faute des atos, mais surtout celle des fils résistifs, qui ne m’apportaient pas ce que j’espérais. Seulement coup de bol ou pas, à force d’essayer au p’tit bonheur la chance des fils résistifs complexes, j’avais fini par tomber sur les bobines de Coilology.

Installées dans les Reload et DR2, c’est la Révolution Française 2.0 : une densité de vape incroyable et un rendu de saveurs à tomber par terre ; je commence donc naturellement à bassiner tout le monde sur le pont avec mes histoires de surface de chauffe exceptionnelle, dans l’espoir de trouver une oreille attentive à mon propos.
Entre temps, je reçois ce qui deviendra mon top ato DL single coil de l’année 2020 : l’inégalable Taifun GT4S :

Lui franchement, il me laisse sur le cul. Fastoche à mettre en œuvre, un rendu de barje, et un amour de tirage RDL : il n’enterre pas tout-à-fait le Vapor Giant V6S, mais il s’empare tout de même du pouvoir sur le créneau dédié. Il continue d’officier à ce jour, et ce même si malheureusement, il nécessite des nettoyages assez réguliers pour s’éviter les affres de sa petite tendance à l’incontinence.

Cette franche réjouissance est d’ailleurs plus que bienvenue parce que… ça y est, on est tous confinés. On imagine encore mal à quel point le monde est en train de basculer, mais on sent bien qu’y’a quelque chose d’important et de profondément malsain qui est en train de se mettre en place. D’un coup le monde s’arrête, et on n’entend plus parler que d’une seule chose : le Covid. Covid par-ci, Covid par-là : ils n’ont plus qu’ça à la bouche. Le matraquage médiatique commence, et le brouhaha devient intenable. Putain faut qu’j’m’échappe. Alors j’me lance dans un nouveau projet qui m’fait rêver : acquérir, enfin, un mod de Sébastien Lavergne. T’façon si on les écoute, on va tous crever d’ici peu, alors foutu pour foutu, autant y aller gaiement !! Je passe plus d’une semaine à faire mon dessin pour personnaliser mon Mod Titan :

De loin la plus belle pièce de ma collection, toutes années confondues. Dommage, ce n’est pas un hybride, mais lorsqu’il est propre, ce mod d’exception tabasse sa mère et sa vape est un pur régal de réactivité et de lissitude. C’est bon, j’ai mon Seb’ Lavergne, et pièce unique en plus ! Personne n’aura le même. Je suis en paix.

 

MAI : temporisation

Mais j’ai quand même conscience d’avoir claqué une somme rondelette dans cette histoire, alors je calme le jeu. Un peu. Ma femme vient de bousiller la R233 d’Hotcig que j’lui avais filée, alors quand  Nes’ nous présente la chouette petite box à Voltage Variable de chez Hippovape, l’affaire est convenue d’avance.

La bonne box Viva 245 de chez HippoVape

Le côté hyper nerveux de la Viva correspond parfaitement au style de vape de ma chère et tendre, c’est parfait. Seulement voilà, ma moitié se montrant particulièrement peu soigneuse avec son matériel à vaper, ce qui devait arriver est arrivé : lassée de se fracasser la tronche sur le carrelage du salon, la box finit par rendre l’âme, et attend désormais patiemment qu’une bonne âme veuille bien la ramener à la vie. T’façon, faut croire que cette Viva n’était pas faite pour mon foyer, car j’aurais dû normalement vous la présenter dès le mois de février, si un escroc de postier n’en avait pas décidé autrement en me la spoliant directement dans ma boîte aux lettres. Enfoiré, va ! J’espère qu’elle t’a pété dans les doigts, la box. (nan, j’rigole, c’est pas bien de souhaiter du mal aux gens…).
Toujours est-il que si Madame a sa box, j’vois pas pourquoi je n’aurais pas la mienne également : hop, raflage d’un fond de stock UK, avec la relique Smoant Charon VV :

Finition « Copper », je n’ai aucun ato cuivre dans ma collec’, mais c’est pas grave, ça fera un prétexte supplémentaire pour claquer encore quelques euros si l’occasion se présente. Deux mots sur la Charon, vite fait : bonne VV old school, signal pas hyper pêchu mais tout de même très correct, switch d’enfer, super qualité de fabrication, à l’ancienne. Quand tu vois qu’à l’époque, cette box tout en métal sortait à 30 boules et quelques… La même aujourd’hui, ce serait 80 balles. Et c’est là que tu te dis que vraiment, « c’est plus c’que c’était ».

 

JUIN-JUILLET-AOÛT : et c’est reparti !

Le mois de Juin est traditionnellement celui de la fête de la musique, mais cette année, c’est forcément un peu particulier. En tout cas chez moi, ça se transforme plutôt en fête du slip, et alors que les premiers mois de l’année avaient été assez cohérents, là ça va commencer à partir dans tous les sens. Faut dire aussi que depuis peu, le Navire a accueilli un nouveau matelot. Et pas n’importe lequel ! Un belge, haut en couleur, sûr de lui dans son propos à la limite de l’arrogance, et tout en diplomatie (LOL). Il m’intrigue celui-là. À ce moment-là, y’a encore la messagerie sur le Navire, alors on apprend peu à peu à se connaître. On n’a pas vraiment la même vape, mais tiens, il adore les câbles Coilology lui aussi… Ça nous fait un point commun, et de fil en aiguille, il arrive même à pécho mon zéro six. Il m’apprend tout un tas de choses sur la vape, en mode professeur particulier. De là se noue une belle amitié, et si de temps en temps vous ne me voyez plus sur le pont, c’est sans doute parce que j’suis en train de blablater avec lui sur Whatsapp ! Ok, j’raconte un peu ma life là, ce n’est pas le sujet, mais c’est pour bien comprendre dans quel contexte les choses vont basculer définitivement me concernant, vapistiquement parlant.

D’abord, rien à voir, mais il y a le Nes’, encore lui, qui vient nous causer du Arcless comme de son mod Ultime. Ah ouais, carrément !

Arcless par Mechlyfe, le mod définitif

Bon ben puisque c’est comme ça, y’a plus qu’à tester, naturellement. D’autant qu’un hasard n’arrivant jamais seul, Bruce l’Air nous pond quasiment dans la foulée un truc d’enfer sur le Asgard mini.

L’Asgard Mini à la lorgnette

Kant’ peut en témoigner : Ezekiel nous en avait déjà causé en MP, de ce Asgard, et ce depuis plusieurs mois déjà. Alors zou, c’est parti pour le setup Asgard/Arcless !! Là les gars, j’vous le dis : vous êtes dangereux. Bravo, vous avez parfaitement réussi votre association de malfaiteurs, avec un setup qui pète le feu et envoie des salves de saveurs démentielles. Seul hic, le setup est black, et moi, je ne jure que par le stainless steel. Alors voilà, cette config’ de grande qualité, parfaitement opérationnelle de surcroit, je la trouve… moche (!!), si bien qu’elle trône sur mon étagère et que je ne l’utilise jamais. Levez pas les yeux au ciel comme ça, j’y suis pour rien ! Bon, en fait, je l’ai quand même un peu mis à l’épreuve au début, ce setup DL, mais de nombreux RTA en tout genre ont également déboulé à ce moment-là, remettant à plus tard une Rencontre qui n’aura finalement jamais lieu. Et pourtant… on ne peut pas dire que la récolte estivale est fructueuse :

Le Aston RTA a presque tout pour plaire : beau, simple, fiable, superbe rendu analytique comme j’aime.

Mais son tirage ni MTL ni RDL ne me correspond pas, et a finalement raison de lui. Hop, cimetière. Même sort pour le très bon mais bien trop capricieux Scylla.

Tout comme il ne pouvait en être autrement pour le scandaleux Kayfun 5 Square Special Edition, véritable arnaque au rendu aussi merdique qu’imprécis.

C’est une certitude : cet ato n’aurait jamais dû voir le jour, et c’est donc tout naturellement et sans la moindre hésitation que je lui décerne le prix d’Ato de Plomb de l’année 2020. Limite j’suis sûr qu’un POD fait mieux.

Destin funeste également pour le Diesel qui, bien que loin d’être affreux, me permet de capter que le top-airflow, c’est vraiment pas ma came.

Le Diesel RTA au banc d’essai

Bon rendu, belle précision, mais un manque de saturation des arômes rédhibitoire, surtout quand je le compare à un ato pas tout jeune mais que je convoite depuis quelque temps déjà, et qui m’arrive de Belgique comme une fleur, par l’intermédiaire de Bruce :

Test du surpuissant Blotto RTA de Dovpo.

Le Blotto, présenté par Kant’, me scotche d’entrée de jeu ! Une précision de rendu encore inégalée à ce jour pour un RTA dual coil, une saturation hors du commun, et un équilibre général juste parfait de mon point de vue : juste WOW !! Énorme coup de cœur.

Là ça y est, je suis ferré. Entre le Asgard mini et ce Blotto, le Bruce a fait ses preuves à mes yeux. Il a une grande gueule, oui, mais il sait de quoi il parle, et il a bon goût… Rien à dire, à part Merci les gars. Et respect.
Mais bon, tout ceci fait quand même un peu maigre pour un trimestre au cours duquel, il faut bien le dire, on se fait royalement chier : le Navire est à quai et le marché de la vape amorphe, complètement atone; c’en est exaspérant. J’en profite donc pour aller faire un petit tour dans les cales du Navire, desquelles, va savoir pourquoi, je sors le Haku Venna chroniqué par Le Daron quelques mois auparavant. Super, la cohérence, mais bon c’est pas grave…

Test du Haku Venna, le nouveau Phenom-ène

Le Haku, je le reçois, je tire deux barres, et je le range. Je crois que c’est l’ato qui, en dépit de ses indéniables qualités, aura fait une des carrières les plus courtes chez moi. Question de timing. Super bon, mais trop tard : le dripper 22mm single coil ne fait plus partie de mes standards. Je nage désormais dans des eaux plus profondes, avec des atos plus véloces et beaucoup plus voraces, que je décide d’alimenter avec la box Titan v1, de SteamCrave. 4 accus, et une vape classieuse qui claque sa race ! J’aurais jamais cru…

Cette box déchire tellement que, quelques semaines plus tard, je n’hésite pas à me procurer la Titan v1.5. Yeaaahhhh, j’ai les Twin Towers à la maison, la classe à Dallas !

 

SEPTEMBRE : rentrée studieuse

Mais alors… faut que j’fasse super gaffe : septembre, c’est le mois au cours duquel l’autre chtarbé d’Oussama avait balancé ses avions kamikazes… Du coup, j’verrouille le territoire. Rien ne rentre, ou alors au compte-goutte, en mode ‘trié sur le volet’. C’est le cas pour le Aston RDTA, qui me séduit instantanément à tout point de vue : esthétique, praticité, rendu de saveurs… Tout y est.

OK c’est un 22mm, mais c’est aussi le seul RDTA de ma collec’, alors pas touche. Et puis après tout, c’est pas la taille qui compte, si ?

 

OCTOBRE : le démesure

Ben en fait, si. La taille, ça compte quand même un peu. Et c’est pas le Ragnar du Bruce qui dira le contraire.

Le Ragnar RDTA, test et rendu avec le Pachamama.

Là c’est le coup de massue, l’uppercut de Tyson dans la mâchoire : voila l’ato de tous les superlatifs, sur lequel tout a déjà été dit. Inutile donc de rajouter une tartine sur cet OVNI de la vape, hors norme à tout point de vue et qui pourrait très bien constituer l’ato GOAT avec lequel on arrêterait de vaper. Bon, arrêter peut-être pas quand même hein, sinon y’a plus qu’à s’en prendre 2 ou 3 chacun et plier boutique. Mais c’est en tout cas sur cette superbe découverte que s’achèvera ce bilan annuel, certes incomplet mais déjà tellement fourni, et surtout parfaitement représentatif en l’état de ce qu’aura été ma vape en 2020.

Une année vapistique particulièrement dense en matos et riche en émotions, au cours de laquelle j’aurai eu le bonheur d’ouvrir la boîte de Pandore, sous l’influence bienveillante de l’équipage de ce merveilleux rafiot : mienne est désormais la vape DL en dual coils de câbles complexes… Ah oui parce que si je ne devais retenir qu’une seule chose, ce serait sans doute celle-là : on ne dit pas « fil » résistif, il paraît que ça fait pas pro. On dit « câble », parce que le fil, c’est pour la pêche ou la couture…
Allez… 2020 est mort, bon débarras !!! Hissez haut, matelots ! :bye:

Ecrit par Clandestino

Passager clandestin du Navire pendant des années, les rats ont failli avoir ma peau dans les soutes, alors j'ai dû quitter ma planque. Mais maintenant que je suis à découvert, pas le choix, je vais filer un petit coup de main à l'équipage, en toute subjectivité bien-sûr. Pas envie de finir balancé aux requins... Loin d'avoir l'expérience et la roublardise des vieux loups de mer qui sévissent sur ce rafiot, je vais humblement commencer par aller frotter le pont, histoire de pas faire de vagues.

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Jugement du Violator… RTA