La genèse de l’Aston 22
Quoi de mieux que de commencer l’année par une nouveauté ? Chaque fois, c’est la même rengaine : porté par un élan d’optimisme quasiment imposé par les circonstances, on se concocte – ou pas – une liste de bonnes résolutions, persuadé que cette fois c’est la bonne, on va s’y tenir. Arrêter la clope, faire du sport, manger mieux, lâcher un peu plus le boulot pour mieux se connecter aux gens qui nous aiment et nous entourent…. Me concernant, je dois bien avouer que ce genre de « to do list » a plutôt tendance à me gonfler et à ne jamais dépasser le stade de la pensée éphémère, considérant que les ‘bonnes résolutions’ sont plus de l’ordre des promesses d’ivrogne qu’autre chose. N’empêche, ne serait-ce que symboliquement parlant, chaque nouvel an constitue tout de même le point de départ d’un truc nouveau, et il se pourrait bien que la Vape soit directement concernée !
En effet, qui a déjà entendu parler d’Aston Vape ? A priori, pas grand monde pour le moment. Normal : la marque est nouvelle et n’a jusqu’à présent fait l’objet d’aucune promotion ou presque. Mais ça pourrait très vite changer ! Mouais, des nouvelles marques, y’en a tout le temps me direz-vous. Oui, sauf que là, c’est pas pareil !! Ah bon ? Et pourquoi ça ? Hé bien tout simplement parce que mine de rien, on a ici affaire à un petit Évènement : Aston Vape est née d’une idée – à mon avis – brillante, celle de créer un nouveau segment marketing. Carrément ! Hé oui, nos frenchies d’AllianceTech Vapor ont décidé de lancer leur gamme Middle-End. Autrement dit, du matos qui, selon les propres termes de ses créateurs, allierait Performance, Utilisation, Design et Prix. Ah ouais quand même !! Autant le dire clairement, d’entrée de jeu : le défi est de taille ! Mais d’ores et déjà, un simple constat : enfin un moddeur High-End qui regarde les roturiers autrement qu’avec un œil arrogant et méprisant !!! Rien que pour la démarche, je dis Bravo. Et Merci ! Alors, début d’une nouvelle tendance sur le marché de la Vape ? Il est évidemment trop tôt pour le dire, mais l’initiative est plus que bienvenue à une époque où les temps sont rudes et les retraites encore loin d’être assurées ! Qui vivra verra comme dirait l’autre, alors pour l’heure, ne nous éparpillons pas sur de la vape-fiction, et restons focus sur l’objectif du jour : pondre la revue du premier atomiseur Middle-End d’AllianceTech Vapor, le dripper Aston 22.
Prix Aston 22 RDA
Pour débuter, débarrassons-nous des sujets qui fâchent, et causons pépettes. Dans mon esprit, « Middle-End », ça veut dire plus de 30 balles, mais moins de 70. Hé bien au niveau du prix, on est pile dedans, puisque le Aston 22 sort à 50 boules. Sur le papier, rien à dire, c’est conforme : on est parfaitement positionné dans une fourchette de prix médiane. Ceci étant dit, reste désormais le principal : savoir si cette somme sera – ou pas – bien investie, parce que bon, un billet orange reste un billet orange…
Design Aston 22
Niveau packaging, le Aston 22 nous arrive dans une simple pochette de velours noir, sobrement floquée du logo de la marque et du petit nom de l’atomiseur. On évite la boîte-en-carton-qui-prend-de-la-place-et-qui-sert-à-rien : c’est parfait, ça fera ça de moins dans les bennes de tri sélectif.
Au cas où on serait passé à côté de l’info, on retrouve également la mention « Designed by AllianceTech Vapor », détail qui met tout de suite en confiance, les concepteurs du Flave étant loin d’être nés de la dernière pluie.
OK, une pochette de velours, c’est vu, on peut passer au dripper maintenant ? Pas tout-à-fait, non, parce que ce n’est pas tout ! Vous connaissez tous le conte « La Belle et la Bête » ? Hé bien à l’image de la rose éternelle dans l’adaptation de Disney, le Aston 22 est délicatement présenté dans une cloche transparente plutôt sympa.
On n’est pas sur le flacon de verre et le bouchon de liège de chez Dotmod, mais bon, ne soyons pas plus royaliste que le roi lui-même, et reconnaissons que le souci du détail est tout de même bien là : definitely Middle-End ! Histoire d’être tout à fait complet sur le packaging, on notera également la présence d’une notice illustrée, ainsi que du traditionnel sachet de spares contenant joints, vis de rechange (x4 !), tournevis noir, et PIN BF. Bon, ça y est cette fois, on peut y aller maintenant ? Hé non, toujours pas ! La pochette de velours contient une dernière petite surprise : un top-cap de rechange, tout en Delrin ! Alors là, faut dire ce qui est : on dépasse clairement le stade du Middle-End. Allez, assez blablaté ! Comme jusqu’à preuve du contraire, on ne vape ni avec une pochette de velours, ni avec une boîte en carton, venons-en à l’essentiel : le dripper !!
Comme son nom l’indique, le Aston est un dripper de 22mm de diamètre, pour seulement 24mm de haut, pin 510 et drip-tip compris ! C’est un poids plume également, puisqu’il affiche 23 grammes à vide sur la balance. On pourrait craindre que de telles mensurations soient celles d’un matériel cheap, mais pas du tout ! C’est juste que le top-cap n’est pas en acier, mais en inox. Honnêtement, il m’aura fallu aller consulter la fiche-produit pour le savoir, et une fois en main, ce Aston n’a rien à envier à une référence comme le NarCa par exemple.
Niveau design, on est donc sur un dripper low profile – autrement dit, trapu – très sobre, mais en même temps travaillé : aucune gravure, aucun logo sur le baril, mais des courbes étudiées et précises, dans la pure lignée des produits d’AlianceTech Vapor.
C’est épuré, c’est moderne, mais ça conserve cette petite touche de classicisme, qui fait toute la différence entre un ato de moddeur et une chinoiserie : personnellement, j’adore la ligne de ce Aston 22. C’est même exactement l’idée que je me fais de ce qu’est le High-End :
Celui qui me dit qu’il n’aime pas, je l’étripe !
Ou alors, il flanque le top-cap noir, il paiera pas plus cher !
Voilà pour la carrosserie ! Pas mal déjà, pour du Middle-End, non ? Cependant, comme tout le monde le sait, la vraie beauté, c’est celle de l’intérieur, alors empressons-nous d’aller voir ce que cache le Aston 22 sous le capot !
Oh, mais j’allais presque oublier : avant ça, observons l’ato lorsqu’il est totalement démonté. Comment ça, on s’en tape de la vue éclatée de l’ato ?!!!?? Ouais, c’est pas forcément faux, mais tant pis pour vous, vous l’aurez quand même !
On retrouve donc une conception tout ce qu’il y a de plus classique, avec un drip, un baril, et un plateau de montage qu’il sera possible de démanteler complètement en dévissant le PIN 510 : parfait pour les opérations de nettoyage. Dans ce cas, on fera particulièrement attention lors du rinçage de l’atomiseur à ne pas envoyer dans le siphon de l’évier la petite rondelle de peek qui viendra isoler le 510, certains se reconnaîtront.
Passée cette remarque de bon sens, pas grand-chose à redire : l’usinage du Aston 22 est ciselé au laser. La pièce en peek qui isole le poste positif du plateau est un poil difficile à sortir la première fois, tant elle est ajustée au micron près, mais en dehors de ça, c’est vraiment du travail de haute précision : tout est net, rien ne tranche ou ne dépasse, et toutes les pièces s’emboîtent parfaitement bien. Du très bel ouvrage !
Concernant le plateau, on est sur un design « taille-basse », comme les jeans des gonzesses à une certaine époque, qui bien souvent nous régalaient dès qu’elles s’asseyaient… Hum, pardon pour l’aparté… Le système de fixation du coil est du déjà-vu 1000 fois sur d’autres matos, mais là, c’est impeccablement taillé dans la masse :
Cela dit, l’intérêt du plateau n’est pas là, et concerne bien évidemment le système de gestion de l’air ! Premièrement, on reste sur la marque de fabrique d’AllianceTech, avec des airflows asymétriques, mais les cyclopes des Flave sont désormais remplacés par 2 airholes de 2mm chacun, ce qui devrait procurer un flux d’air plus fin et plus précis :
Mais ce n’est pas tout ! Le deuxième point essentiel vient du fait que les 4 air holes sont usinés « en biais », de telle sorte que le flux d’air sera descendant et viendra taper sur la partie basse du coil, un peu à la façon du Haku Venna présenté par notre Daron national :
La combinaison de ces 2 caractéristiques singulières est fort prometteuse, mais on verra tout ça en temps voulu. Pour le moment, refermons cette section ‘Design’ et enchaînons sans plus tarder sur le volet suivant.
Utilisation Aston 22 RDA
Avant de pouvoir utiliser son Aston, il faut bien évidemment le monter, et là, on en revient forcément au plateau : le système d’airflows asymétriques s’étalant sur 7mm de largeur, on est implicitement invité à installer un coil avec beaucoup de spires, ou à utiliser du fil large genre Fused Clapton et compagnie. Après pas mal d’essais, je me suis arrêté sur un parallel-coil de Kanthal A1 26 Ga (0.4mm), 6 tours sur un axe de 3mm, pour une réz. à 0.45 ohm : on est bien au-dessus des 0.3 ohms, comme préconisé par Aston Vape dans la notice, c’est parfait ! L’espace disponible étant confortable, la mise en place de la bobine est un jeu d’enfant, d’autant que le plateau présente un système de « rigole » pour accueillir notre gabarit :
Les vis de serrage – dont l’empreinte plate est profonde – étant d’excellente qualité, on peut y aller sereinement et visser comme un bourrin : pour apercevoir une déformation des empreintes, faudra se lever de bonne heure ! Et au pire, on dispose de 4 vis en spares. A noter que le placement du coil en hauteur a une grande influence sur le rendu du dripper : pour ma part, je le rabaisse légèrement, et je vous conseille vivement d’en faire autant. Mais après, c’est toujours pareil, chacun verra midi à sa porte.
Niveau cotonnage, on suit bêtement la notice, on coupe 2mm plus large que le plateau et on aère bien ses mèches avant de les placer délicatement dans la cuve. Plus simple, y’a pas !
En somme, la mise en œuvre de l’Aston 22 s’avère donc extrêmement simple, tout ayant manifestement été pensé en amont pour faciliter la vie de l’utilisateur. Perso, j’apprécie grandement, et j’appelle ça High-end !
Conséquence logique de sa conception « low-profile », il faut bien reconnaître que la cuve du Aston n’est pas des plus profondes, ce qui invite fortement à utiliser ce dripper en mode BF. Il y aura peut-être par-ci par-là quelques petits oversquonks malheureux au départ, le temps de se familiariser avec l’ato et de comprendre qu’il faut squonker léger, mais bon, y’a franchement pas de quoi en faire un fromage non plus : l’inclinaison des conduits d’air vers le haut limite vraiment bien les risques, et il faudra soit ne pas connaître l’ato, soit le faire carrément exprès, pour se retrouver les doigts plein de liquide.
À l’utilisation, le Aston 22 est à ranger dans la catégorie des matériels faciles à vivre. C’est peut-être un tout petit peu moins le cas avec l’exemplaire en delrin, mais le joint principal du plateau retient parfaitement bien le top-cap en inox, et moduler son airflow en cours de vape se fait en toute quiétude et sans avoir à forcer le moins du monde. Le drip-tip est quant à lui raccord avec le reste du dripper : il est court, ce qui à n’en pas douter dérangera certains vapotos, mais les gars d’Aston Vape le savaient très bien et ont donc eu l’excellente idée de le mettre au format 510, ce qui ravira l’ensemble des utilisateurs. Bon, très bien tout ça, mais maintenant, reste le principal : comment il vape, ce Aston ?
Performance
On ne va pas faire dans le suspens inutile : le Aston 22 est une petite merveille de dripper saveur, qui procure une vape de très haut niveau. Vapé à 32 watts sur squonker électro double accus, c’est un véritable enchantement pour les papilles. On retrouve l’identité gustative propre à AllianceTech Vapor, avec une vape pleine, ronde, ciselée et gorgée de saveurs. Le volume de vapeur est généreux, et la texture onctueuse à souhait, presque crémeuse : à mesure qu’on enchaîne les barres, on grimpe lentement mais sûrement au septième ciel pour aller vaper un nuage tendre et moelleux. C’est smooth, hyper smooth même !
Ouvert à fond, on est sur un tirage DL restreint impeccablement positionné pour de la dégustation : ce n’est ni trop serré, ni trop aérien, c’est pile là où ça doit être pour s’offrir un rendu fidèle, raffiné et parfaitement équilibré. On tire des barres interminables et d’une grande douceur avec un plaisir non dissimulé, et on se laisse volontiers embarquer par une saturation des saveurs remarquable, qui s’arrête au moment où il faut, juste avant de devenir « trop ». En fin d’exhalation, lorsque l’on déglutit, on boit littéralement une petite gorgée de son jus, c’est extraordinaire !
Mon extrait d’Oriental de La Tabaccheria sort de manière ultra-précise, dans une alliance de puissance et de nuances que je n’avais encore découverte sur aucun matériel de ma collection. Bluffé le type ! Autant vous le dire sans détour, ce Aston 22 a foutu KO debout mes NarDa, Turbo ou autre Le Dripper, et s’est naturellement imposé, sans faire de bruit, comme mon dripper de dégustation numéro 1. Ni plus, ni moins.
Le mot de la fin
Le défi que s’est lancé AllianceTech Vapor avec la création de sa gamme Middle-End était de taille, mais il a, à mon sens, été relevé haut la main. Premier représentant d’un segment que l’on espère d’avenir, le Aston 22 n’a de Middle-End que le nom, et n’a clairement rien à envier à des drippers 2 ou 3 fois plus chers, que ce soit au niveau de sa réalisation ou de son rendu. Mine de rien, en proposant un dripper de cette qualité-là à un tel prix, c’est quand même un sacré pavé dans la marre vapistique française – voire mondiale – que vient de balancer AllianceTech Vapor avec sa gamme Aston Vape. Un conseil, si vous me permettez : si vous êtes branché(e) ‘saveur’, ne passez pas à côté du Aston. Il est vendu au même prix partout, alors tant qu’à faire, autant l’acquérir directement chez son concepteur, ici même.
Aston 22 : Middle-end, vraiment ?
Waouh!!
Superbes photos
Tres joli petit dripper pour les amateurs et content que tu ais pu le tester
Bravo l’artiste
Merci Cap’s !
C’est d’autant plus surprenant pour les photos qu’elles ne pèsent quasiment rien en taille : entre 0.4 et 0.6 Mo chacune !
Ouais, très très chouette petit dripper ce Aston ! J’en suis ravi !!
Un excellent article pour un fabuleux dripper, merci Cland! Je me suis régalé rien qu’en lisant ta prose.
Merci Maître Kant’ !
Fabuleux, c’est le terme adéquat !
Si un jour t’as 50 boules à bien investir, alors n’hésite pas. Le rendu de ce Aston est incroyable ! Ça sature parfaitement bien sans en faire trop, c’est ultra-fidèle, c’est fin et précis.. Bref, du tout bon !
Belle revue Cland, merci!
C’est vrai qu’il a l’air top cet Aston, et joli en plus! Après le succès du Flave et du Flave Evo, décliné en RDA puis RDTA, je suis sur que ce petit nouveau est issu du savoir-faire d’Alliance Tech.
D’ailleurs, en lisant cette revue, je vape sur le Flave 22 avec ma Dual Mech
Merci pour la découverte en tout cas ! Je me laisserais bien tenter à l’occasion
Merci Daron !
Il l’est, parole de moi !
On retrouve bien le savoir-faire d’AllianceTech, je confirme. Une vape qui ressemble comme 2 gouttes d’eau à celle des Flave (j’ai le 24 RDTA)… mais en mieux ! Les 2 air holes à la place des cyclopes rendent le truc encore plus fin et plus précis, c’est assez dingue ! Et alors, je crois que le truc de l’inclinaison des air holes pour que l’air vienne de haut en bas taper le bas du coil, c’est la clé des meilleurs drippers saveur. Genre Hypersonic, ou Hakku Venna (que je ne connais pas encore).
50 balles, c’est quand même une somme, mais franchement, ça vaut le coup !
Clandé, j’ai adoré lire ta revue ! Et que dire de la qualité de tes photos ! On y voit trop bien le sens du brushed de l’inox !
En noir, il est bcp moins beau !
Joli petit dripper ! Il est pas trop » brûle-truffe » avec sa taille basse ?
Merci Zaza !!
C’est vrai que pour une fois, je les aime bien les tofs. J’ai testé un truc sur le téléphone, et ça sort bien, je recommencerai pour voir si c’était pas un coup de bol !
Le top-cap noir, je l’ai montré pour la forme, mais il n’a jamais quitté la pochette de velours, j’aime trop l’acier !
C’est vrai que je ne l’ai pas dit dans l’article, mais moi aussi quand j’ai vu la taille rikiki de l’ato, j’ai redouté le cramage de groin et les remontées de liquide (jurisprudence « Le Dripper »
). Mais aussi surprenant que ça puisse paraître, rien à signaler sur ce Aston !
Évidemment, si tu le montes en dessous des 0.3 ohm préconisés et que tu lui balances 80 watts, t’auras l’effet barbac’. Mais en utilisation normale, ça passe crème.
J’ai reçu ce jour du Fused Clapton en Ni80 2*26Ga + 36Ga : j’ai monté une réz de 6 tours en 3mm, mesurée à 0.32 ohm : à 45 watts, c’est juste exceptionnel !!! Encore meilleur qu’à 32 watts avec le parallel coil de l’article. La vape est chaude, mais l’ato ne chauffe pas, j’en suis bluffé…
Splendide cette revue. Prose, photo, ato, et découverte musical tout y est. Superbe taf
Merci de nous régaler.
C’est une astuce d’entortiller les extrémités de ton parallèle coil?
Merci Ez’
J’ai essayé de rester sobre parce que c’est une revue sponso, c’était pas facile pour moi !
Comme je l’ai dit, ce Aston a supplanté tous mes drippers saveur ! Je m’attendais à du bon, mais pas à ce point-là. Pour aller le chercher celui-là, va falloir du très très lourd !!
L’entortillage des extrémités du parallel-coil est en effet une astuce qu’avait indiquée Lodse dans son article de présentation du parallel-coiling. Je n’ai rien inventé, juste suivi ce qu’il conseillait de faire.
Ça permet de « verrouiller » ton coil, et faire en sorte que les spires restent bien en place et ne se chevauchent pas lors du serrage des vis.
super revue et belle photo clande un joli petit dripper dit moi les joints du top cap en derlin tienne bien sur ton exemplaire car certain on eu des souci avec.
Hey Mex’, t’es au courant de tout toi, comment tu fais ????
Le top-cap du Aston n’a aucun joint, c’est le plateau qui en a un (un seul). Si le top-cap en inox est tenu à la perfection par ce joint, c’est vrai que c’est un tout petit peu moins le cas pour celui en Delrin.
Je viens de faire un test, pour voir : Aston en config’ top-cap noir, vissé sur une box chargée de 2 accus, posée sur la table. –> je ne peux pas soulever l’ensemble en ne saisissant que le top-cap : celui-ci me reste dans la main, et la box reste sur la table.
Mais en utilisation normale (y’a des gens qui soulèvent leur box en attrapant leur set-up seulement par l’ato ???
), RAS, ça fait le job.
Excellente revue…
Le Aston a, comme tu le dis et comme on peut le voir sur tes superbes photos, tout d’un « high end » et on ne peut que souhaiter à AllianceTech / Aston Vape d’être récompensé de son initiative en vendant des camions entiers de ce dripper pour le plus grand plaisir des vapotos de tout poil.
Bon… Et maintenant, que vais-je faire comme le demandait un célèbre chanteur du temps jadis plein d’à-propos. Déjà heureux possesseur d’un NarDA, d’un NarCA, d’un NarEA, d’un Hadaly et d’un ou deux autres encore dont j’ai oublié le nom, ai-je vraiment besoin d’un dripper-saveur supplémentaire pour m’énerver une fois de plus sur mes boxes BF avant de le passer aux oubliettes de la boîte à matos, déjà surpeuplée ?
Jusqu’à un passé récent, la réponse aurait été « oui » sans hésitation car cet Aston 22 me plaît bien, tant esthétiquement que techniquement. Mais voilà, je me suis salement ramolli et le Porky va de mieux en mieux…
Merci Nes’ !
Ben tu fais évidemment comme tu veux ! Je viens de relire l’article, et étant donné qu’il est sponsorisé, je me rends compte qu’il peut sonner un peu « complaisant ». Tout ce que je peux te dire, c’est qu’en comparaison des NarDa, NarCa et Hadaly que je possède aussi, le Aston joue dans une toute autre cour, notamment au niveau de la saturation des arômes.
Depuis que je l’ai, je ne vape sur aucun autre dripper. Il a la précision de rendu des NarMods, avec, pour moi, la saturation d’un hypersonic (le sucre en moins). Le tirage est plus aérien que sur ce dernier, mais moins qu’un NarCa par exemple. Pour moi, c’est juste parfait pour en faire mon dripper testeur de jus. Et puis je te dis, quand je déglutis en fin de tirage, la salive que j’avale est tellement saturée que je bois une gorgée d’oriental, de latakia, ou de kentucky.
Ce petit bout de métal rikiki est formidable, et j’aimerais bien qu’un possesseur de ce dripper se manifeste sur ce billet pour voir si c’est moi qui fabule ou pas… !
Bon, il va falloir que je traîne moins sur le site. Alors déjà @Clandestino tu m’as fait craquer pour Le Dripper, qui est, c’est vrai, très sympa. Mais un peu galère pour une utilisation quotidienne, surtout pour quelqu’un qui débute comme moi.
Et voilà quand qu’en trainant ici, je fini par acheter le Aston 22, en espérant trouver mon bonheur.
Au passage il est en promo pour les intéressés à 35€ sur lepetitfumeur, j’ai aussi un code de parrainage de 5€.
Je viens de voir qu’une version RTA du Aston est prévu pour bientôt!
Bien vu ça Le Daron, affaire à suivre sagement et avec attention, merci. A noter qu’il est en 24 mm.
Wow, ça y est, il est bientôt prêt !! Ils me l’avaient dit à l’époque du 22, mais je ne voulais rien dire, par respect pour eux.
Très intéressant ce RTA !!
Hey j’avais loupé cette revue !! Misère, je serais passé à côté d’un clin d’œil mémorable ouiiinnn
Encore une bien belle revue, merci à toi
Ah ah ah, tu t’es reconnu ??
Bon alors @clandestino tu l’utilises toujours ton 22?
Ce format est quand même petit et plus trop adapté aux boxs actelles non?
Plus on avance, plus les diamètres augmentent
@dan,
Hey non, je ne l’utilise plus vraiment… Pas parce que j’ai trouvé mieux sur ce créneau-là, oh non. Il est même dans mon top 2 sur le segment des drippers saveur en 22 mm, et a toujours sa place sur mon stand d’atos fonctionnels.
C’est juste que ma vape a quelque peu évolué ces derniers mois, et que le soir désormais, c’est vape qui poutre.
Et puis, il faut dire aussi que quand on est testeur de matos, les atos font des carrière plutôt courtes, tant on enchaîne en peu de temps les matos. Mais ce Aston 22, c’est un Top sur son créneau, que j’aurai plaisir à réutiliser quand le moment sera venu (et il viendra forcément, vu que tout est toujours cyclique).
Au fait, si t’as le temps, il y a un petit soucis avec certains smileys :
Salut @Clandestino !
Je suis quelques uns de tes articles et tests depuis quelques jours et voilà déjà que j’ai reçu un Kayfun Lite, un Aston et de beaux macérats pour tester tout ça ! (tu vois le pouvoir de conviction un peu là non
)
Je suis très content du Kayfun c’est magnifique, j’apprends à utiliser l’Aston, mais je suis beaucoup moins habitué au DL et j’ai l’impression qu’il lui faut le coil adéquat pour s’exprimer correctement ^^.
J’ai flashé sur le drip tip de la dernière photo, et je voulais avoir ton avis sur ce setup en vapeur froide du coup, et la reférence, car ce petit Aston n’accepte pas tous les drip tips on dirait..
Merci en tous cas ! Continue !